1. Le fol anniversaire d'Antonia (9)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Perdu dans mes pensées, je n’entends pas Antonia revenir. Ce sont ses talons qui claquent sur les dalles de pierre qui attire mon attention. Je lève les yeux. Ultra moulée dans une robe plus longue, Antonia s’approche fièrement de moi. Elle a attaché ses cheveux. Je me redresse : — Tu es… tu es… Je ne trouve pas mes mots, je bafouille. Elle rit. — … époustouflante ! Elle rougit, me remercie et… se tourne. Je sous au bord de l’apoplexie. Antonia n’avait pas menti, la robe lui fait des fesses fabuleuses. Je me lève d’un bon et la rejoins pour la prendre dans mes bras. Elle éclate de rire, un rire enfantin et joyeux. Je l’embrasse avec fougue. Elle me repousse dans le canapé le plus proche et se met à danser langoureusement devant moi. C’est excitant au possible. Antonia joue de ses formes et me rend fou. Elle s’approche en écartant un pan du haut de sa robe et me donne son sein droit à goûter. — Déshabille-toi… J’obéis sans attendre. Antonia danse encore. Elle remonte sa robe au-dessus de ses fesses nues avant de la redescendre. S’agenouillant devant moi, elle redresse mon sexe et le lèche très lentement des bourses au gland en me regardant droit dans les yeux. Je suis scié. Elle me prend ensuite en bouche et me suce énergiquement. Elle monte ensuite à califourchon sur moi, remonte sa robe et glisse sur mon sexe. Plus tendre, plus douce, elle ondule délicatement et nous nous embrassons longuement, tandis que je fais sortir ses seins du décolleté. Après avoir joui, Antonia se ...
    ... lève et s’agenouille dans un autre canapé. A quatre pattes, en appui sur l’accoudoir, cambrée, la robe relevée au-dessus des fesses, ses gros seins pendants, elle m’offre une vision de rêve. Je viens derrière elle et l’enfile sans peine. Allers-retours en douceur puis plus énergiques. Je veux faire durer car Antonia prend son pied. D’un moment plus calme, je reprends mes va-et-vient en accélérant lentement, mais toujours plus. Je résiste autant que je peux alors que j’astique vigoureusement la belle. — C’est comme ça que vous nettoyez le parc ?!? Je suis coupé dans mon élan. Antonia crie : — Encore, encore ! Ne t’arrête pas ! Juste le temps d’apercevoir Samuela et je relance mes coups de rein désormais plus rapides et énergiques que jamais. Antonia halète et gémit. Je jouis alors que Samuela est à côté de nous, hilare. Nous nous effondrons dans le canapé. — Heureusement que je suis venue seule ! T’imagines si j’avais débarqué avec Maman ? Antonia rit. — Je t’ai écrit que tu n’avais pas besoin de venir. — J’étais déjà en route, je n’allais pas faire demi-tour. Vous êtes arrivés à quelle heure ? — Heu… On a dormi là à vrai dire, dehors, sur le canapé. — Mais non ?! C’est super romantique ça ! — L’anniversaire était un complément parfait à cette nuit. Nous éclatons de rire. Antonia enlève sa robe et plonge une nouvelle fois à l’eau. Je dis à Samuela : — Tu venais pour nettoyer ? Ce n’est pas vraiment une tenue adaptée ! Elle rit : — C’était juste pour se promener dans le parc, ...
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