1. Ma jeune Collègue (Suite et Fin)


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. J’adore ton sexe ta bite ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Moi ; je vais jouir aussi tu es trop bonne, ma cochonne Valérie (en jouissant) : non non pas dans ma chatte s’il te plait pas dans ma chatte ooooooooooooohhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Et un deuxième orgasme fulgurant la submergea, elle se cambra te retomba sur le capot, au bord de l’explosion, je sortis précipitamment de son sexe et sans prévenir je la sodomisais d’un coup sec. A peine dans ses reins je giclais de longs traits de sperme sur les parois de son intimité, en la maintenant collée à la voiture, et en rallant très fort, je tombais sur elle épuisé. Elle reprit ses esprits la première, Valérie : tu me laisses me relever, tu es lourd. Moi : au pardon mais c’était si fort, si bon, je suis vidé Valérie : ce sont tes couilles que tu as vidées, et tu n’étais pas obligé, de le faire dans mon cul. Moi : (en me rhabillant) : tu m’as dit pas dans ma chatte, je n’allais pas éjaculer sur ta belle chemise Valérie : (en me faisant face et en me prenant par le cou). Tu es un beau salaud, mais j’ai adoré, on recommence quand ? Et elle m’embrassa tendrement. Nous avons été amants pendant 4 mois, puis elle a déménagé pour suivre son mari. Pendant ses 4 mois nous avons fait l’amour chez elle dans le salon alors que ses enfants dormaient à l’étage. Je l’ai doigté et elle m’a sucé au cinéma, je l’ai même doigté un soir en rentrant d’une fête, ou nous étions allés avec nos conjoints respectifs. Au ...
    ... retour vers 4h du matin, nous étions avec leur voiture, son mari conduisait. Ma femme était montée devant, car elle est malade en voiture (ne plus elle avait un peu abusé, et la route était sinueuse). Je me retrouvais donc derrière avec Valérie. Nous avions une centaine de kilomètres à faire dont une soixantaine sur des petites routes de campagne à travers bois. Très vite ma femme s’endormit. J’attendis un peu, Valérie somnolait à ma droite, légèrement de côté, une jambe repliée sur la banquette, ce qui me laissait entrevoir sa culotte. Son mari très attentif à sa conduite, rapide mais sure, pensais que nous dormions, et comme j’étais derrière lui il ne pouvait me voir même dans le rétroviseur, je posais doucement ma main sur sa cuisse, que je caressais lentement. Elle ouvrit les yeux en grand, surprise par mon audace. Essaya de me repousser, mais je lui fis chut avec mon doigt. Elle ferma les yeux et fit semblant de dormir. J’avais gagné, ma main remonta sous la robe courte, un doigt passa sous l’élastique de la culotte. Pendant que je lui masturbais le clitoris, mon pouce la pénétrait. Très vite je sentis son sexe s’humidifier. Je la regardais elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir, sous mes caresses. Puis tous à coup elle jouit, en ouvrant les yeux en se pinçant les lèvres, en plaquant sa main sur la mienne, et en serrant les cuisses, pour garder mes doigts sur et dans sa chatte. La fin du voyage se fit sans encombre, son mari conduisait vraiment très bien 
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