1. Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XII


    Datte: 19/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prépare le repas. Ils discutent mais je ne comprends pas le sens. Ils parlent à voix contenues. J’entends des mots ou des bribes de phrases : - Non Kemb……. Pas question…. - Pourquoi ?... Tu sais ce que je ressens….. - N’insiste pas Kemb… - Tu sais qu’il accepteras… - Je crois que tu comprends pas Kemb.. Ils se taisent à mon entrée avec le café. Kemb me regarde. Un regard de colère, de reproche. Margot a son regard neutre. Celui qu’elle prend quand elle se ferme. Kemb se lève. Regarde ma femme. - Je ne pourrais pas rester ce soir ma Gazelle… Margot semble vaciller même si elle est assise. Je sers le café. La voix de ma femme tremble. - Comme tu veux Kemb…. Je comprends. Il part sans boire son café. Je me tourne, interrogateur vers ma femme… - C’est rien Chéri…. Tu veux bien dormir avec moi ce soir ? J’ai rien trouvé à répondre. oooOOOooo Il faisait encore beau et nous n’étions que les quatre en ce mercredi après-midi. Nous avions emmené les enfants au parc. Ils jouaient devant nous. Assis sur un banc nous les regardions. Margot me tenait la main. Comme un couple normal que nous n’étions plus. C’est elle qui a commencé à voix basse. - Merci. - Merci de quoi ? - Pour tout. Tout ça. Tout ce qui arrive depuis deux ans. - Tu ne m’as pas laissé le choix Margot. - Je sais et c’est pour ça que je te remercie. Mais tu restes mon mari. Le seul et l’unique. - Ouais. Ton mari.. - Tu en doutes Didou ?... - Uniquement devant la loi. Je suis ton mari oui. Ton larbin aussi. Ton cocu.. ...
    ... Impuissant comme tu as eu la gentillesse de le dire à ma mère. Qui suce tes deux amants. Ah oui et j’ai oublié femme de ménage. - Mais cela n’enlève rien à l’amour qui nous unis mon Chéri. Notre relation st bien plus forte qu’une simple relation sexuelle. - J’ai ni la force ni le courage de discuter Margot. Et tes remerciements me font juste mal. Comme te voir entre leurs bras. Ou plutôt entre leurs sexes. Elle est restée silencieuse. Puis s’est levée. - Je suis vraiment désolée Didou. Mais c’est impossible pour moi d’arrêter. Je pensais que tu l’avais compris. Je m’en veux de te faire si mal. Je n’ai pas de solution mon Ange. A part une séparation qui me rendrait malade. Mais si cela peut te rendre heureux. - Je veux tout Margot. Tout ce que j’avais avant. Mais c’est impossible. Il me reste mes enfants. Et je sais aussi que tu ne céderas rien Margot. Tu as toujours dirigé le foyer. Il n’y a pas de raison que cela change. Mais.. - Mais quoi ?.... - Un jour c’est lui qui te dirigera. - C’est pas demain la veille ! Crois-moi Didou…. Mais c’est vrai, il va falloir prendre des décisions…. Allez les enfants on rentre maintenant. oooOOOooo Nous sommes au lit. Elle sort une boite du tiroir de son chevet et me la tend. - Tiens c’est pour toi. Devant mon air interrogateur. - Ouvre. Je déchire le papier et ouvre la boite assez étroite et longue d’une vingtaine de centimètres. C’est un cylindre en aluminium d’environ vingt centimètres sur à peu près trois de diamètre. Il brille sur son écrin. ...