1. Coup de chaleur à l'hôtel (Libération de l'assertivité)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: h, fhh, grp, fbi, inconnu, voisins, vacances, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, double, Partouze / Groupe échange, confession, occasion,

    ... ne sais pas. Pas encore en tout cas. Il ne faut jamais dire jamais, mais jusqu’à présent… Chez moi tu sais, c’est pas très original, je préfère les femmes. Un homme ne va donc pas m’exciter. Bien que… Les choses de la vie sont souvent plus compliquées que ça.— Ah !… Elle resta songeuse. — Bon. Pour t’amuser, je vais te raconter un truc qui m’est arrivé… Voilà ce qui m’est arrivé dans cet hôtel durant ce déplacement. Ce soir-là, j’étais au lit dans ma chambre car il était déjà fort tard. Tout bêtement, je regardais le journal TV de minuit. Cela dit mon attention était de plus en plus perturbée, à cause du bruit dans une chambre voisine : « On ne s’ennuie pas à côté », ai-je pensé, car ce que j’entendais ne laissait pas beaucoup de doute sur ce qui se passait. En effet sans aucune discrétion, ces voisins commencèrent peu à peu à crier leur jouissance. Ils « n’y allaient pas de main morte », car visiblement ce que j’entendais ne venait pas de la chambre à côté mais d’un peu plus loin, dans le couloir. Diable… — Aaah ! Aah… Oui ! Comme ça ! Tu te retournes maintenant, Oui. Comme ça… Hampff, hampff… Prends moi, oui… Etc. Tout cela manquait réellement de discrétion. Cette ambiance m’a progressivement surexcité car ça durait et j’ai même eu l’impression qu’ils n’étaient pas que deux. Il fut vite impossible de penser à autre chose. Sur le moment j’ai lentement conçu un fantasme. J’imaginais que peut-être ils avaient envie d’être rejoints et « aidés ». Leur porte était donc peut-être ...
    ... laissée ouverte… À la longue, n’y tenant plus, j’ai éteint la TV, je me suis levé puis j’ai ouvert doucement ma porte. J’ai d’abord hésité en jetant un coup d’œil à droite puis à gauche. Il n’y avait comme prévu personne dans le couloir. À cette heure-là naturellement, c’était improbable. Je suis donc sorti à pas de loup avec l’intention d’écouter aux portes, pour savoir dans quelle chambre cela se passait. Il faisait très chaud, toujours plus chaud cette semaine-là, j’ai finalement décidé d’oser sortir nu de ma chambre, étant certain de ne rencontrer personne. (Je me couche toujours nu.) Puis en me guidant « au bruit », je suis allé jusqu’au bout du couloir pour y trouver la chambre où la nuit était si agitée. Alors j’ai bêtement commencé à écouter, l’oreille posée sur leur porte restée fermée. J’entendais tout ce qui se passait presque aussi bien que si j’étais avec eux à l’intérieur. En plus ils étaient nombreux dans cette chambre, c’était évident, peut-être cinq ou même plus. Incroyable. Alors là… C’est alors que j’ai eu l’impression d’une présence derrière moi. (Il ne manquerait plus que ça, pensais-je.) Soudain quelque chose de chaud m’a effleuré les fesses. J’ai sursauté. Horreur ! Je n’étais plus seul. Un homme nu, de ma taille, se tenait juste derrière moi, la tête aussi appuyée sur la porte. Il sursauta aussi. Comme moi, il écoutait mais avec plus de distance. Il s’écarta en posant son index devant sa bouche et chuchota : — Chut ! Nom de Dieu… J’étais à la fois muet ...
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