1. Coup de chaleur à l'hôtel (Libération de l'assertivité)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: h, fhh, grp, fbi, inconnu, voisins, vacances, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, double, Partouze / Groupe échange, confession, occasion,

    ... celle du clair de lune était suffisante car la fenêtre était grande ouverte. (Par cette chaleur, cela se concevait fort bien.) Deux trios étaient installés en travers et ce qu’on voyait de mieux, c’était une femme prise en sandwich par deux hommes, dont l’un était à plat dos avec la fille allongée sur lui, en train de plonger sa langue dans la bouche de ce partenaire. Leurs cuisses étaient très écartées et derrière elle, le jeune homme brun qui venait d’entrer ramonait doucement le cul de cette jeune femme en ahanant, une main sur une fesse et l’autre glissée en celles de l’homme couché sous la fille. Tous les trois ondulaient de plus en plus lentement, en soupirant. Le second trio sur le lit n’était pas très visible de là où fasciné, je contemplais la scène. Je me suis retourné vers mon compagnon de voyeurisme : — Ah ben ça alors… Autre surprise, la réceptionniste se tenait près de nous sans mot dire en souriant, visiblement très contente d’avoir su prendre sur le fait, deux hommes en une situation pour le moins ambiguë. Elle posa son index verticalement devant ses lèvres : — Pas de bruit… Puis elle nous a entraînés au bout du couloir, non sans avoir doucement fermé notre porte. Puis en prenant la grosse clef passe-partout accrochée à la ceinture de sa mini-jupe plissée, elle précisa sa pensée : — De là où on va, on verra mieux ce qui se passe… Entraîner deux hommes nus avec elle, pour entrer dans une chambre avec eux, visiblement elle hésita mais ça ne lui faisait plus ...
    ... peur. Effectivement en ouvrant la fenêtre il ne fut pas nécessaire d’allumer la lumière et notre position à l’autre extrémité du « L » de l’hôtel nous offrait une vue imprenable sur la chambre du plaisir collectif. La pleine lune expliquait peut-être ces quelques débordements, mais elle nous permettait aussi d’assez bien les observer. La première chose qu’elle a fait fut d’essuyer l’intérieur de ses cuisses avec un mouchoir en papier pris dans la salle de bains, sous nos yeux en précisant : — Tous les deux, vous bandez comme des Turcs, moi je mouille tellement que je ne mets plus de culotte pour éviter de la tremper dès neuf heures le matin. Depuis trois jours qu’ils sont là, c’est comme ça toutes les nuits et ça m’excite, je ne tiens plus. Vous au moins, vous ne vous êtes pas plaints du bruit ! Nous avons commencé par observer la partouze en cours presque en face de nous, à moins de vingt mètres. Le second trio en action sur le grand lit, peu visible par le trou de la serrure, était réellement en train de se lâcher… Deux hommes et une femme étaient couchés sur le côté les uns derrière les autres, les jambes écartées, l’un était visiblement en train de ramoner le cul du second, qui ramonait leur partenaire, elle-même en train de sucer le cinquième homme… Il faisait très chaud, de plus en plus chaud cette semaine-là et cette nuit-là, l’atmosphère était réellement encore plus torride. Notre nouvelle amie me poussa sur le lit pour s’allonger sur moi et exigea de l’autre qu’il ...
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