1. Initiation 2


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Première fois

    ... changer la peinture tu es chez toi, pas une locataire !!!"Elle appuyait là où ça faisait mal, ne prenais pas de gants, cela me dérangeait mais en même temps être ainsi bousculée dans mes certitudes idiotes me faisait un bien fou.J'avais osé paraître nue face à des yeux ! Oui peu importait qu'il s'agisse d'une fille ou d'un homme, j'avais osé me mettre en péril."Tu vas me laisser faire ok ? Tu vas être à moi ce weekend, je vais m'occuper de te transformer, tape là"Elle tendit sa paume, la mienne vint mollement taper dedans."Plus fort, tu dois taper plus fort"Cette fois le claquement retentit et ainsi scella mon destin au sien, je ne devinais pas à quel point être à elle signifiait mon propre abandon.Mais comment résister à sa force de persuasion ?Elle me fit tendre les bras pour enfiler le fin bustier qui épousa mon buste comme une seconde peau.Un doigt léger vint effleurer les pointes de mes seins qui trahirent mon excitation."Le corps ne ment jamais, tu vois, eux, tu vois ils disent qu'ils aiment"Puis elle déposa un chaste baiser sur le bout de mon nez.Plus bas, j'infusais...Chaque mots, chaque gestes et regards étaient autant de fils avec lesquels elle tendait mon corps telle une marionnette.Que c'était doux au delà de l'inquiétude d'être manipulée, se laisser faire sans avoir à lutter contre soi même."On va aller faire les boutiques"J'étais en train d'ôter la micro jupe..."Qu'est ce que tu fais ?""Je me change""Reste comme tu es, ici personne ne te connaît, profite, tu vas ...
    ... jouer à être une autre fille, tu pourras remettre tes sacs de patates chez toi, Pas chez moi, Pas dans mon pays !!!"J'étais tétanisée à l'idée de déambuler ainsi, j'avais si souvent critiqué intérieurement ces filles aux tenues indécentes, tout en les enviant secrètement d'oser.Résignée, je levais un pied pour enfiler ma culotte blanche, elle arriva vers moi, la saisit me faisant presque chuter, s'empara d'elle puis se dirigea vers son bureau, ouvrit un tiroir, et d'une main rageuse écarta des lames de ciseaux pour taillader le coton."Voilà, c'est réglé pour ta moche culotte"Elle alla vers sa commode, d'un tiroir elle sorti un long châle aux couleurs bariolées qu'elle m'envoya pour que je couvre le haut de mon corps."Tu débutes, alors tu as droit à ça "Dans ses yeux, le temps d'un éclair, je vis une autre fille, une femme que je sentais s'insinuer en moi, comme un serpent se contractant autour de mon corps et mon âme, l'oppressant petit à petit, lentement, sûrement.C'est ainsi que nous sommes sorties de l'appartement, chaque marche me rapprochait de l'extérieur, on allait me voir, des yeux étrangers allaient forcément se poser sur moi, sur mes cuisses apparentes, je ne lâchais pas mon châle, dernière pudeur accordée par Ingrid, elle ouvrait la voie et je me suis surprise à observer avec délices les ondulations de ses hanches, comme hypnotisée.La porte était là, plus que quelques mètres, bientôt nous serions dehors,...Et là, soudain, je vis Ingrid se retourner, comme dans une ...
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