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Marie Annick, la copine bourgeoise de ma mère
Datte: 10/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... lèvres son clito. Marie Annick écarte un peu plus les cuisses et plaque ses mains sur ma tête pour accentue la pression de ma bouche. J’en profite aussi pour introduire mon index en elle, ce qui la fait se cambrer et accentuer la pression de ses mains. J’aspire son bouton qui a bien gonflé, et je le frictionne avec ma langue. J’ai maintenant 2 doigts qui vont et viennent dans son sexe trempé. Je les fais tournoyer en elle, sa peau se granule. Elle gémit de plus en plus fort, mes doigts sont compressés par ses spasmes vaginaux. Elle écrase encore plus ma tête contre elle, bien que j’ai du mal à respirer je continue de jouer avec son clito et de bouger mes doigts en elle. La pression sur ma tête diminue, je ralentis la cadence de ma main et ma bouche progressivement. Je retire délicatement mes doigt, je pose un dernier baiser sur son sexe ce qui la fait frissonner et je viens m’allonger à côté de Marie Annick. Ma queue est tout droite et dure, je sens une main un peu humide, qui n’est pas la mienne, me branler tout doucement. Le corps de ma voisine se déplace sans lâcher sa prise qu’elle a de plus en plus serré. Je pense qu’elle se penche sans doute pour me sucer à mon tour mais non, elle m’enjambe et vient directement s’empaler sur moi. Une fois que ses fesses sont contre mes cuisses elle lâche un grand « Aaaaaaaahhhhh! » et commence à basculer son bassin d’avant en arrière. Après plusieurs longues minutes de se mouvements elle commence à monter et descendre le long de ma ...
... queue. Une fois qu’elle est a un bon rythme elle brise le silence et me dit: « Ca fait au moins 5 ans que je ne me suis pas fait bouffer la chatte. » En même temps qu’elle parle, elle contracte les muscles de son vagin pour me donner encore plus de plaisir. « Tu recommenceras? » Je la plaque contre moi, je l’embrasse à pleine bouche pendant que mes mains attrapent ses fesses pour les malaxer mais surtout donner le rythme à nos ébats. Quand nos bouches se décollent je lui dis: « Evidement! Autant que tu veux j’adore ça » Elle se redresse, je l’attrape par la taille pour rythmer nos mouvements que je fais de plus en plus ample. Sa main se pose sur son entrejambe et elle caresse nos deux sexes. Je la préviens que je vais pas tarder à jouir, entre deux gémissements elle me susurre « Attends moi! » Elle attrape mes mains qu’elle pose sur ses seins, immédiatement je lui pince les tétons. Elle gémit de plus en plus fort. Je fais mon maximum mais je n’arrive plus à me retenir, je me déverse en elle en serrant encore plus fort ses tétons. Je ne sais pas si c’est l’éjaculation ou mes doigts mais elle atteint elle aussi l’orgasme. Ses mouvements se font de plus en plus lents et petits, mes mains quittent ses seins et lui caresse son petit ventre et son dos. Marie Annick s’affale sur moi et m’embrasse alors que je suis toujours en elle. Nous nous endormons dans cette position. Le lendemain quand je me réveille, je suis seul dans mon lit. Même si j’ai envie de rester nu, partir à sa recherche ...