1. Initiation de qui ?


    Datte: 20/02/2018, Catégories: hhh, hsoumis, intermast, rasage, Oral hsodo, init,

    ... l’ascension de mon dos, elles s’attardèrent sur mes épaules, me massant le cou et reprirent leur course. « prends moi » me surpris-je à lui dire Un doigt vint titiller mon œillet, puis il me pénétra. Je le sentais tourner, entrer, sortir…je n’aurai jamais penser que cela pouvait procurer autant de sensation. Je n’avais jamais osé le faire à ma femme, très prude, elle n’acceptait que des rapports sexuels conventionnels. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je ne ressentais aucune douleur. Mon cul comme ma bouche l’avait fait auparavant, se mit à onduler, à anticiper le mouvement des doigts, il cherchait à les engloutir, à les avaler. Le plaisir grondait au fond de moi, j’en voulais plus encore. « Pierre approche, on va terminer le travail ensemble », Ricardo venait de retirer ses doigts et ses mains m’écartaient maintenant les fesses, mettant au grand jour ma rondelle assouplie. « On dirait une chatte » s’exclama Pierre « Vous l’avez bien agrandi » « Non c’est lui qui s’est agrandi seul, j’ai réveillé en lui la femme qui sommeillait, d’ailleurs on va lui donner un nom, Comment s’appelle votre femme monsieur ? » « Aline » soupirai-je. « et bien Aline, on va te donner le plaisir que tu cherches, tu veux toujours trouver ce plaisir ? » « Oh oui, aime-moi, aimez-moi, baisez-moi » « Pierre, t’as déjà mis ton doigt dans le trou d’un mec ? » « Non jamais, j’suis pas homo ! » « Et dans celui d’une femme ? » « Ma copine elle a jamais voulu, elle dit que c’est sale ! » « Un cul ...
    ... c’est comme un chantier ça doit toujours être….. » « Propre, chef » « C’est bien. Allez Aline à la salle de bain, un cul ça doit être aussi propre qu’un chantier » Je n’étais plus moi, Xavier, j’étais Aline. Je me levai, parti à la salle de bain suivi de Ricardo et de Pierre. « Retire la pomme de douche, met l’eau à borne température, et approche le tuyau de ton trou » J’obéissais, curieux de nouvelles sensations. Quand l’eau fut à bonne température, je pointai le tuyau sur ma rondelle et fit jaillir l’eau. Mes intestins se remplirent de ce liquide tiède, mes intestins existaient, je les sentais. Ricardo coupa l’eau, me dit de boucher mon trou avec un doigt et de m’asseoir sur les WC, je retirai mon pouce, l’eau s’écoula de moi. J’étais une femme qui pissait du cul. Quelle sensation étrange ! Ricardo avait remis la pomme de douche et me demanda de me rincer le fion. Nous retournâmes au salon où je repris la position. « Voilà Pierre un chantier tout neuf, à toi de me montrer ce que tu as retenu ! » J’avais posé ma tête sur un de mes bras et je les observais, attendant avec impatience qu’ils reprennent leurs attouchements. « Oh ! son cul a repris sa taille normale ! » « L’effet de l’eau, à toi de le travailler. Aline ! écarte les fesses avec tes mains, il faut que Pierre puisse travailler dans de bonnes conditions !» Pierre approcha un doigt, tenta de le faire pénétrer. La pénétration était difficile, mon œillet se refermait dès que son doigt appuyait dessus. « j’y arrive pas, ...
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