1. Ma tante de 45 ans est sublime (19)


    Datte: 10/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le ventre pour mon plus grand plaisir. — Mon chéri, tu peux me mettre de la crème dans le dos ? — Je t’en mets sur tout ton corps Tatie ! — Ah oui pourquoi pas... Je badigeonnai ma tante de A à Z. De sa voute plantaire en passant par ses fesses sur lesquelles je m’attardai, je lui en mis pour la voir rayonnante. Le téléphone sonna et je prie la peine d’aller répondre. Je revins tout sourire. — Qui était-ce ? — Anne et elle a demandé si elle pouvait rester ce soir chez Lisa. — Alors, qu’as-tu répondu ? Me dit Chantal avec ses jambes repliées faisant la balançoire. — Je lui ai dit Ok et que je la chercherai demain vers 11 heures. — Wouah une soirée de plus avec mon homme ! — Tu es très sexy ma belle Tatie. — Tu me trouves toujours sexy, bon je fais un peu de lecture ! Jean, je change de position, tu peux relever le transat ? — Oui et je te mettrai de la crème. — Je ne dis jamais non à mon neveu dans ce domaine. Le transat en position, ma tante prit un magazine et déploya ses longues jambes. Elle eut dans l’instant une allure impudique, lunettes de soleil sur le nez, lisant son journal et son sexe à l’air. Mon esprit réagit mais le reste resta pantois malgré l’eau fraiche de la piscine. Je m’occupai de sa poitrine rapidement et gênant ma tante dans sa lecture, je descendis plus bas. Mes mains se mirent à l’ouvrage avec un semblant de crème et de belles caresses se firent jour à l’intérieur de ses cuisses parfaites. — Tu as les mains chaudes Jean, tu me donnes des frissons. ...
    ... Dit-elle plongée dans sa lecture. — Alors je poursuis dans ce sens ma chère tante. — Mais faites mon beau neveu et poursuivez comme vous le désirez...Dit-elle en écartant les jambes. Je sus ce que ma belle Tatie attendit de son propre neveu dans cette dernière phrase. Mes caresses se rapprochèrent irrésistiblement de son sexe épilé, pure merveille de son anatomie. Avec douceur, mes doigts se faufilèrent à la limite de son intimité et se réunirent pour faire de longues vagues entre ses cuisses. Chantal replia son magazine pour le tenir d’une seule main et dans le silence de la Provence, sa seconde main m’encouragea à aller au contact de ses lèvres intimes. — Aurais-tu une idée derrière la tête Chantal ? Dis-je ne la taquinant. — Donne du plaisir à ta petite sœur mon grand. Nul doute que ma tante fut fin prête quand mes doigts touchèrent ses lèvres sensibles, elles ruisselaient déjà de son précieux nectar. Je glissai un doigt le long de son vagin pour remonter vers son clitoris. Je ne fis que tourner autour et ma tante se cala au fond de son transat, bien disposée à exposer son anatomie intime. Elle me fit place en dispersant ses jambes longilignes et mes lèvres déposèrent un long baiser sur cette intimité impatiente. Chantal prit une grande respiration, comme une sorte de satisfaction de me savoir entre ses cuisses et du plaisir qui l’attendait. Calmement, ma langue rendit une visite de courtoisie à l’extrémité de son vagin, mais sa maîtresse en décida autrement. Elle m’incita en ...