Ma tante de 45 ans est sublime (19)
Datte: 10/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... en sentant le souffle de ma tante s’amplifier. Je me penchai et ma sublime Tatie approcha son buste. Ma langue se mît à tournoyer sur son auréole tandis que ma main caressa ses hanches. Je gagnai sa confiance mais aussi son désir refoulé envers moi lorsqu’elle passa ses doigts dans mes cheveux, en m’incitant à lui sucer son mamelon enflammé. — Tatie...je crois que tu aimes vraiment ! — Ouiii c’est pas mal du tout. Suite à cette brève conversation, je me mis à téter goulûment ce sein si demandeur. Je sentis les doigts de ma tante se crisper dans ma chevelure. Mes doigts atteignirent la pointe de son intimité et parcoururent ses longues lèvres que je devinais savoureuse. Je donnai le coup de grâce lorsque mon majeur se montra impatient à l’entrée de son vagin. Un coup d’œil sur ma montre m’indiqua 16 heures. Je réalisai que notre petit jeu durait depuis près d’une heure. — Tatie, suis-moi. — Jean, ce n’est pas raisonnable ce que l’on fait ! — Je sais, allez viens, laisse-toi faire...Luis dis-je avec une voix ferme. Je me levai en lui tendant la main pour l’aider et au moment même où sa main rencontra la mienne, je sus que ma tante était partante pour faire des choses non convenues avec son neveu de 18 ans. Elle se leva avec grâce, entièrement nue. Je la vis gênée de par sa nudité face à moi, aussi pour effacer son embarras, je collai ma tante contre moi sentant la douceur de sa peau contre moi. Le rêve se mît en marche... Ma tante prit sa serviette sur les épaules, eut le ...
... temps de mettre ses escarpins et nous rentrâmes dans le salon. — Jean, que veux-tu faire ? Dit-elle angoissée de ce qui allait se passer. — Suis-moi sur le canapé. J’enlevai mon maillot et ma tante jeta un bref coup d’œil sur mon membre bien portant. Je la pris par la main et n’y tenant plus, je la serrai contre moi en lui caressant ses fesses somptueuses. J’avançai mes lèvres et Chantal, hésitante, me donna les siennes. Même si ce fut un jeu entre nous, nous poursuivîmes notre rêverie. Nous débutâmes par quelques petits baisers innocents, ma tante ayant du mal à concevoir l’impossible avec son propre neveu. Il m’apparut nécessaire de faire un coup d’éclat. Je m’assis sur le canapé, le sexe raide en posant mes mains sur les cuisses. — Viens t’asseoir sur moi ma belle Tatie. Lui dis-je avec une voix posée. — Jean tu te rends compte de ce que tu me demandes ? — Viens je sais que tu en meurs d’envie. Dis-je toujours avec une voix posée. — Oui mais si ta maman l’apprenait ? — Il n’y a que nous deux, viens t’asseoir juste 5 minutes. — Euh...alors juste 5 minutes et après je pars faire des courses. — Alors viens Tatie... Mes yeux fixèrent le corps de ma tante, ses jambes, son sexe, son ventre, son buste avec ses seins pointus. Chantal vint, un peu perplexe, se mettre à califourchon sur moi, en repliant ses jambes sur le canapé. Immédiatement mes bras l’enlacèrent par la taille et je multipliai les caresses le long de de son dos, tout pétrifiant ses fesses fermes, bien rebondies. Je ...