Bastien (2)
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
Gay
... en serait blessée et jalouse. — Comment ça, jalouse ? — Ta sœur ramène chaque semaine des amants différents qui ont entre l’âge de ton père et ceux de tes grands-pères alors j’imagine qu’elle fait une sorte de transfert. — Tu veux dire qu’elle fantasme sur Papa ? — Fantasmer, je ne sais pas, mais elle en est encore amoureuse ; c’est une évidence ! — Encore amoureuse ? — Toutes les petites filles sont un jour amoureuses de leur Papa, d’un oncle ou d’un grand-père, mais, généralement, ça passe avec les premiers amours d’adolescence. Sauf que ta sœur n’a jamais eu de véritable amour d’adolescence et qu’elle préfère les vieux. Il n’y a qu’à voir comment elle le regarde ou l’encense ; il est évident qu’elle n’a pas dépassé ce stade. — Et elle, tu la laisserais aussi coucher avec Papa ? — Tu m’aurais posé la question hier, je t’aurais dit non, mais aujourd’hui, franchement, je n’en sais plus rien. J’ai épousé un obsédé et j’ai enfanté deux obsédés, alors je crois que je ne peux pas lutter. — Tu es malheureuse avec Papa ? — Absolument pas ! Je ne vaux pas mieux que lui en fait puisque pendant vingt ans j’ai eu peur d’être cocue et que maintenant je veux l’être. Ça m’excite ! Il pourrait coucher avec tous les êtres vivants de la Terre, ta sœur et toi en premier, que j’en serais heureuse. Je rêve d’un soir où il se coucherai déjà épuisé et rassasié de sexe. — C’est à ce point ? Tu ne supportes plus de faire l’amour ? — Oh si, et j’aime ça ! Mais quatre fois par jours, c’est un peu ...
... épuisant et parfois j’aimerai juste m’endormir contre son épaule. — C’est pour ça que tu veux qu’il multiplie les amants et les maitresses ? Pour qu’il s’épuise avant d’aller se coucher. — Oui, mais ton père a une capacité sexuelle hors du commun ; il peut jouir jusqu’à douze fois par jour en éjaculant toujours autant. C’est comme si ses grosses couilles ne se vidaient jamais et il a une bite énorme ! Franchement, Bastien, il y a des jours où je n’en peux plus même s’il me fait jouir et que j’aime ça. — Finalement, c’est toi qui a besoin d’aide, si je comprends bien. — En quelque sorte et le plus simple serait qu’il ait sous la main suffisamment de culs pour se vider les couilles avant de se coucher. — Pourquoi tu ne lui dis pas que tu n’en peux plus et que t’aimerai bien que parfois il ne te fasse qu’un câlin ? — Parce qu’il ne saurait pas le gérer… Alors ce soir, quand il rentrera, je veux que tu simules vraiment ton mal de dos pour qu’il t’emmène dans son cabinet. Peut-être que ton corps lui fera le même effet que celui d’Éric et qu’il se mettra à rêver de ton cul comme il a rêvé du sien. — Mais le hic, c’est que si je n’ai rien, il va le voir… — Oui, mais, le connaissant, il ne le dira pas et te fera quand même un massage. Par contre, je suis certaine qu’il me parlera de ta simulation ce soir ; chaque fois que quelque chose le perturbe, je suis la première informée. — Et donc ? — Eh bien, j’improviserai autour de ton homosexualité et de ton attirance pour lui… Je suis ...