1. Bastien (2)


    Datte: 21/02/2018, Catégories: Gay

    ... de massage, je n’en ai plus ici. Mentit Armand en quittant la pièce. Armand se précipita dans les WC de son cabinet, défit sa braguette et en trois coups de poignets, il remplit son mouchoir propre de son foutre épais. — Oh, putain, j’n’y crois pas, se dit-il en ayant honte de lui-même. Voilà que je bande pour le cul de mon fils. Ah, le salop… J’n’arrive même pas à débander. Ne pouvant pas non plus faire attendre trop longtemps Bastien, il rangea sa queue encore bien raide dans son pantalon, remit son mouchoir dans sa poche et prit au passage une bouteille neuve d’huile de massage pour donner le change. Bastien l’attendait, allongé comme il le lui avait demandé, ses jambes étaient très légèrement écartées et ses fesses rondes n’en étaient que plus attirantes encore. Il respira profondément et se versa de l’huile de massage sur les mains. Il se plaça devant Bastien qui ne put que constater l’ampleur de la déformation du pantalon de son père et sentir l’odeur du foutre qui émanait de la poche qui contenait son mouchoir. « Il est allé se branler, c’est sûr, pensa Bastien impressionné, et pourtant il bande encore comme un âne ! ». Les gestes de son père étaient doux et précis et, même s’il n’avait jamais eu mal, les mains qui massaient son dos lui faisaient du bien. Armand passa sur le côté en descendant progressivement, il retardait au maximum le moment où il aborderait les muscles fessiers. Il avait peur de perdre le contrôle de ses gestes et ses efforts en devenaient de plus ...
    ... en plus pénibles. Il s’attarda un long moment sur les reins puis il prit son courage à deux mains et s’occupa du fessier. Ses gestes n’étaient plus aussi techniques et il se laissa aller à écarter légèrement les deux globes pour avoir une vue sur l’anus de Bastien. « Faut que je résiste ! C’est mon fils, je ne peux pas ! », pensa Armand devant le spectacle du petit trou qui paraissait prêt à s’ouvrir. Il avait envie d’y mettre ses doigts, sa langue et son sexe. Il voulait posséder son fils, lui faire l’amour et quand il sentit que les fesses réagissaient favorablement à ses caresses, il mit un terme au massage pour ne pas risquer d’aller trop loin. — Bon, tu peux aller te rhabiller, ça va aller comme ça. — Merci Papa, lui dit Bastien en l’embrassant sur la joue. Ça m’a fait beaucoup de bien. Le garçon remit la serviette autour de sa taille et repartit vers la maison tandis qu’Armand, abasourdi, regardait le sperme que son fils avait laissé sur la table de massage. Une fois seul, il se pencha pour la lécher et pour la deuxième fois en moins d’une demie heure, il sortit sa queue pour se branler rageusement. — Aaah, salop ! Putain, Bastien, tu m’excites, salop. Aaah ! Aah oui, je vais te la mettre tu vas voir… Aaah, mon Dieu ! Oh oui, j’aimerai ça, putain ! Aaah mais non ! Faut pas ; j’n’ai pas le droit, aaah ! Aaaaaah ! Aaah, oui, bordel ! Aaaah ! Aaah oui ! Aaah ! Aah merde ! Encore ! Oui ! Aaah ! Aaaah putain !... Armand regardait la quantité de foutre qu’il venait de balancer ...