Mamie Louise 07
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
Mature,
Première fois
... propose pareil choix, ne l’offusqua pas, tant la requête l’avait surpris. A la pensée, de pouvoir enfoncer sa verge dans ce mystérieux sexe féminin le bouleversait, il lança son bas-ventre en avant dans un réflexe tout masculin. Sa façon à lui d’accepter la requête de sa grand-mère.Si pour Jérémy, seul comptait la perspective de connaitre enfin le plaisir de faire l’amour à une femme, pour Louise il en était tout autrement. Le fait d’offrir son sexe à son petit-fils de quinze ans lui procurait une excitation perverse. Que cet adolescent soit le fils de sa propre fille ne pouvait qu’accentuer encore cette exaltation. Ne pouvant résister plus longtemps au brasier qui lui échauffait le vagin, Louise décida qu’il était temps pour elle d’assouvir ses envies. Se redressant légèrement pour fixer Jérémy dans les yeux, elle murmura d’une voix câline :— Tu veux bien faire l’amour à ta Mamie, mon chéri ?— Oh oui ! S’exprima Jérémy dans un souffle.Alors, souplement, Louise roula sur le côté pour s’allonger confortablement sur le dos. Dans un geste d’appel sexuel, elle ouvrit ses jambes, s’offrant ainsi à cette pénétration tant désirée.Le cœur battant, la gorge nouée par l’émotionJérémy s’agenouilla sur le lit pour contempler fasciné, ce corps féminin entièrement nu, qui s’offrait avec une réelle impudeur. Ainsi allongée, sa grand-mère lui apparut encore plus belle. Ses énormes seins qu’il avait malaxés et tétés quelques instants auparavant, lui apparurent étrangement moins volumineux. ...
... Du fait de leurs masses, les lourdes mamelles s’étaient affaissées de chaque côté du torse, comme deux flancs savoureux. Même le ventre habituellement légèrement rebondi paraissait, du fait de la position, plus plat, plus moelleux. Cependant, Jérémy ne pouvait détacher son regard de la fourrure qui tapissait le bas-ventre de sa grand-mère. Faite d’une multitude de bouclettes brune qui tranchait sur la chair blanche du pubis, la flèche du triangle ainsi formée plongeait entre les cuisses charnues. Jérémy s’imagina que la pointe brune lui indiquait le chemin à suivre pour atteindre ce lieu enchanté dont rêve tout homme, qu’ils soient adultes ou adolescents. Ce corps nu alangui si sensuel procurait à Jérémy un tel émerveillement, qu’il ne put s’empêcher de murmurer d’une voix pleine d’amour :— Tu es belle, Mamie.Ce compliment plein de sincérité, surprit Louise, et lui procura un tel bonheur qu’elle sentit ses yeux s’embuer. Il y avait si longtemps que l’on ne lui avait fait de tel compliment. Julien, son amant, lorsqu’il la retrouvait, ne venait pas pour lui faire la cour : seule l’intéressait, pouvoir se vider les couilles dans un sexe accueillant. Même si elle y trouvait son compte sexuellement, il n’y avait jamais entre eux de mots d’amour, même si lors d’une séance plus torride que les autres, Julien lui avait avoué que sa chatte lui faisait penser à « un garage à bittes », cela n’avait rien de romantique… Quant à son époux Raymond, il y avait longtemps qu’il ne s’intéressait ...