Les nièces jumelles : saison 3 (3)
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... gémit-elle. — Je me régale de son jus, je fais des bruits obscènes, elle aussi. Je pourrais sans doute lafaire jouir en poursuivant comme ça, mais je ne voudrais pas qu’elle vienne « trop vite », elle pourrait ne plus avoir envie que je la prenne après. C’est bête, je sais, c’est peut-être ma seule chance de lui donner un orgasme, je vais peut-être me montrer totalement pitoyable par la suite, mais je prends le risque. — Chloé, fais-je. Est-ce que je peux… heumm… Enfin… J’ai envie de te baiser. Je peux ? — Oui, vas-y. J’en ai envie, moi aussi. — Tu… tu as envie d’une position particulière ? — Non, vas-y. En missionnaire, c’est très bien. Je me redresse, elle écarte les cuisses. Elle me veut, c’est fabuleux. J’approche mon dard de sa fente, je suis tout excité, nous y sommes enfin. Elle m’offre sa chatte, et je compte bien la prendre. Je prends une grande respiration, puis je la pénètre doucement. Je m’y enfonce entièrement. Ah ! Oui ! Putain ! Ça faisait si longtemps que je n’avais pas fourré ma bite dans un vagin ! Elle a eu un petit sursaut de panique. C’est peut-être une superbe suceuse, mais je ne pense pas qu’elle ait beaucoup plus d’expérience que moi. Nous sommes tous les deux gênés, mais nous sommes contrôlés par nos hormones. Je commence à la limer. C’est doux et onctueux. Je suis heureux. Je suis venu ici dans l’espoir fou de pouvoir baiser une fille, et j’en baise une. — Ça va ? Tu es bien ? fais-je. — Oui. C’est bon, continue. Pour un type comme moi qui a si peu ...
... confiance en lui, voir la chatte d’une femme pénétrée par sa propre bite, et en plus la voir aimer ça, cela fait un effet monstrueux. Je me penche sur elle pour l’embrasser, elle me rend mon baiser avec la langue. Elle porte toujours son haut, je meurs d’envie de voir ses seins. Je l’aide à le lui retirer et à enlever son soutien-gorge. Ils sont merveilleux ! Ils sont tout petits, mais assez gros pour se balancer au rythme de mes coups, je les adore. Je les empoigne et lui lèche les tétons. Ces derniers ont l’air sensible vu comment elle gémit. Je la lime de plus en plus fort. Je perds la tête, je deviens enfin comme les autres, ivre de luxure. Je me laisse aller. Je ne suis plus ce petit con coincé, je suis désormais un animal, un pervers. J’ai besoin de la sauter, de prendre mon pied, de jouir ! Je veux qu’elle ressente la même chose que moi. Je crois que c’est le cas : elle vient d’enrouler ses cuisses autour de mon bassin. Elle s’est transformée en chienne en chaleur, suppliant qu’on lui remplisse le vagin avec une bite. Je suis si heureux d’être tombé sur Chloé. Je l’ai trouvée si mignonne quand elle rougissait en regardant les autres. Je la trouve encore plus belle en femme qui assume son plaisir. — Oh, c’est bon, c’est bon. Continue, gémit-elle. — Oh ! Chloé ! — Je roule du bassin pour mieux la ramoner. Je fais un effort surhumain pour ne pas éjaculer. Je rêve bien évidemment d’exploser et la faire déborder de sperme, mais je tiens surtout à ce qu’elle jouisse avec moi. ...