COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. A8 (11/13)
Datte: 11/07/2017,
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Dans la zone rouge,
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux. Parler de nuit blanche, ce serait peu dire, la porte vient de s’ouvrir et mon Maître est là. • As-tu bien récupéré ? J’ai eu l’impression qu’hier tu as eu une légère indisposition. Mes premiers patients vont arriver, tu les recevras dans le salon et tu les feras attendre et tu les feras entrer un par un. Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai sinon, tu resteras assise sur la chaise près de mon bureau, c’est une partie de ma maison que tu ne connais pas. S’il y a des enfants, tu leur donnes une citronnade, j’en fais une fois par semaine les mercredis. J’en ai fait pendant que tu te prélassais dans ta cage. En attendant met ta tenue rouge, mais avant, nous avons encore cinq minutes, suce-moi. Il ouvre son pantalon. Suis-je subjuguée par le bonhomme qui me fait souffrir ou par cette verge qu’il me présente ? Son don est peut-être plus efficace quand il a éjaculé ! Nous, ses soumises, sommes-nous là pour augmenter son efficacité. Du moins quand je le prends en bouche, toujours avec la même difficulté, j’ai l’envie de le croire. J’ai faim, il est vrai qu’hier j’ai mangé frugalement et j’ai renvoyé le peu que j’avais réussi à mettre dans mon estomac. Masturbation, sussions comme il aime et je finis par avaler une rasade de sperme qui va me caler quelque temps. Je prends goût au sperme de cet homme, celui à la casquette toujours présente sur sa tête. • Va donner une poignée ...
... de foin dans les cages des lapins avant de me rejoindre, eux aussi ils ont le droit de manger. Tu viendras me rejoindre sur tes deux jambes, mes clients n’ont pas besoin de savoir que tu es une chienne attachée à son Maître. Tu donneras deux poignées de graines aux poules après avoir ramassé les œufs, évitent les conneries ce coup-ci. Je sais, ne pas toucher à ceux peints en rouge. Je fais le travail, j’entends une voiture arriver, Maître Albert doit avoir coupé les alarmes, car aucune sonnerie ne me propulse dans ma cage. Il reste quelques pissenlits dans le panier, le sperme ne m’a pas suffi, ma grand-mère en faisait en salade, c’est donc mangeable, je donne du foin aux lapinous et j’avale une dizaine de plantes sans sauce de salade bien sûr. C’est un peut fade, mais bof, les lapinous en mangent bien. Je vais aux œufs quand j’ai la frayeur de ma vie. Face à moi, un renard me regarde, il me montre même les dents, j’ai vu un reportage sur la rage. Hier quand j’étais pendue, une pensée m’est venue et si mon Maître allait me saigner comme un lapinou, loin de moi de penser que ce serait la rage qui m’abattrait. J’avais aussi vu qu’avec ces animaux il ne fallait surtout pas leur faire voir ma peur. Donc j’avance, les babines de l’animal deviennent encore plus expressives. C’est à ce moment que mon petit lapinou que j’ai malencontreusement laissé sortir de sa cage sort de nulle part et lui passe entre les pattes. Le renard a un regard d’incompréhension, il me regarde, finit par se ...