1. Violette : de vierge à salope, mon apprentissage (1)


    Datte: 22/02/2018, Catégories: Divers,

    ... plus excitée, je sentais que je mouillais ma chaise. Je réussis à finir ma présentation sans trop de mal et je le vis sourire, me pressant le genou avec sa main. — Très bien Violette, je dois dire que je suis assez impressionné. Mais est-ce que tu n’aurais pas appris tout cela pour être récompensée sexuellement, vilaine fille ? dit-il en plongeant son regard perçant dans le mien, sa main serrant maintenant fortement mon genou, me collant à ma chaise et son autre main me pinçant le téton. — Ou- oui... soufflais-je. J’étouffais en fait un cri à la fois de surprise mêlée de plaisir. Enfin, je voulais crier, mais bien entendu je me retenais. Je me mordais la lèvre alors qu’il pinçait encore, tournant mon pauvre téton entre ses doigts agiles. Je ne pus enfin retenir un petit gémissement, ce qui le fit s’arrêter et me sourire d’un air pervers. — Quand tu étais à quatre pattes, j’ai vu que tu avais bien suivi mes consignes, dit-il toujours en souriant, je pense que tu mérites ce que je t’avais promis ? Il se leva, fouilla comme la dernière fois dans son sac et en sortit ce qui ressemblait à une cravate. Elle était bleu marine, assez belle, mais pourquoi la sortait-il ? — Ne bouge pas, je vais te bander les yeux, il fait entraîner tous tes sens pour découvrir le sexe ma belle pucelle, dit-il en se positionnant derrière moi, me bandant finalement les yeux comme il l’avait annoncé. Il attacha fermement la cravate derrière ma tête, je ne voyais vraiment rien. — Où est ta chambre ? Je ...
    ... frissonnais presque d’excitation en répondant : — Il y a une porte près de la bibliothèque, cela conduit à un escalier secret qui y mène. Il me prit alors par le bras, me faisant me relever et m’amena vers ce que je savais être le coin où se trouvait l’escalier dissimulé (j’adorais cette configuration dans ma chambre et j’avais toujours rêvé de l’exploiter dans ce genre de fantasmes sexuels). Il marqua une pause pour ouvrir la porte, puis me fit monter doucement tout en passant furtivement ses doigts sur mes lèvres parfaitement épilées, comme s’il appréciait sa propriété. En arrivant en haut j’étais de nouveau très humide, je ne sais pas s’il ne l’avait toujours pas remarqué (j’étais en effet certaine d’avoir mouillé ma chaise en bas) ou si cela l’amusait et l’excitait à la fois. Il s’arrêta derrière moi, je me demandais si comme moi il était totalement affolé de désir (j’espérais au moins lui faire la moitié de l’effet qu’il me faisait, restons modeste). Il se colla à moi, m’enserrant la taille avec un bras et me serra la gorge de l’autre ; je sentais sa bite dure contre ma jupe fine, il se frottait entre mes fesses et je savais dès lors que j’allais passer un bon après-midi. — Je vais t’amener à ton lit puis tu t’allongeras sur le dos en relevant les jambes. Est-ce que tu as du lubrifiant ? murmura-t-il à mon oreille. Je me raidis un peu, il le sentit et ricana, d’une manière presque méchante. Il m’intima de ne pas avoir peur, pourquoi voudrait-il me faire du mal ? J’étais ...
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