1. Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali :


    Datte: 22/02/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali : J’ai trouvé l’histoire de Mahdi bandante, alors je lui ai demandé de me conter la suite de ses débuts. Il m’a dit qu’il avait progressé très vite dans la passion pour la sodomie : « Teremti walfat fissa3 bi zbouba » (ma terma s’est vite habituée aux zobs). Voila ce qu’il m’a avoué : Après mon dépucelage et mes sodomies par le gros zob de ammi Ali, j’ai immédiatement gouté à ce plaisir sexuel. Alors, pendant les trois soirées suivantes, mon compagnon m’a sodomisé plusieurs fois, deux séances chaque nuit avant de nous coucher et une troisième le matin, vers 6h, avant de nous lever pour le chantier. Il me disait « ya oulaydi ! teremtek ajdida ch’7al h’louwa ! skhouna wa m’la7ma ! zébi h’bal 3liha ! » ( fiston ! ta terma vierge est si douce ! chaude et charnue ! mon zob est fou d’elle !). Et moi, lui exprimant ma soumission au plaisir : « ya ammi Ali, zébek a3jabni ! ki youd’khoul fi qari, e’n’hiss lahlawa dakhal teremti ! » (ammi Ali, ton zob me plait ! quant il rentre dans mon cul, je sens du plaisir à l’intérieur de ma terma ! ). Et j’ajoutais pour l’encourager : « saha zid kima tabgui ! zebek akh’chine wa m’tine ki louted ! nach’tih ki youd khoul ! » (s’il te plait, continues comme tu le désire ! ton gros zob est dur comme un pieu ! je l’aime quant il s’enfonce !). Alors, il m’a défoncé le cul comme j’ai aimé l’être. J’ai été enchanté de cette première expérience. J’avais lu, dans les livres que c’était difficile et douloureux. ...
    ... Mais, moi, j’ai trouvé que même les quelques douleurs me procuraient du plaisir et j’en redemandais. Quant le zob quittait mon cul, je ressentais comme un manque de jouissance, presque une douleur sexuelle. Je voulais que ce gros zob reste toute la nuit à l’intérieur de ma terma. Dormir et rêver avec ce zob dans mes entrailles, c’est un plus de jouissances toute la nuit. Hélas, ammi Ali, dès qu’il a assouvi sa deuxième sodomie, s’endormait rapidement et je devais attendre l’aube pour gouter, peut-être une autre partie de plaisir. Le quatrième jour était un samedi, début de week end, mais ammi Ali, maçon, travaille comme les autres jours de la semaine. Parfois, même le dimanche matin, il fait des heures sup ou remplace un collègue car le chantier ne s’arrête jamais. Moi, par contre, j’ai congé le week end à cause de mon poste de travail. Donc, ce matin, après avoir pris son petit déjeuner que j’avais réchauffé, ammi Ali est parti au travail et moi, en pyjama, j’ai préféré faire un peu la grâce matinée. Vers 8h, alors que je me prélassais au lit, un peu déçu de ne pas avoir eu, ce matin, ma dose de sodomie et que ma terma était toute moite de désir inassouvi, on toqua à la porte. Je me suis levé tel quel et ouvert la porte. C’était Said, un ami de ammi Ali qui m’avait été présenté une fois. C’était presque une photocopie physique de ammi Ali, mais il était un peu instruit et travaillait comme factotum au bureau, donc il bénéficiait aussi du week end. Je lui ai rappelé que ammi ...
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