La t(an)tation d'Arthur 07
Datte: 11/07/2017,
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Première fois
- Tu ne préfères pas laisser la lumière allumée ? La voix de Mélissa est sucrée. J'entends les froissements du drap sur son corps nu, j'imagine la grasse envie qui coule entre ses cuisses, son corps menu sous mes lèvres, ma queue dans sa bouche, comme dans celle de sa mère il y a quelques minutes, je l'imagine aspirer ma jouissance, me sucer jusqu'à la dernière goutte, se laissant mater volontairement - elle a vraiment coupé ses cheveux très courts, tout le monde s'est demandé pourquoi ce midi, mais elle me l'a répété, alors que nous faisions la vaisselle: "Comme ça, quand je te sucerai, tu pourras mieux voir." Oui je la vois me laisser la baiser ce soir. Et je bande. - Non, pas de lumière. C'est plus facile d'oublier que tu es ma petite cousine dans le noir. Elle glousse. - Tu viens ? Je hoche la tête. - D'accord, mais en copains, ok ? Elle ricane. - En copains. Promis. - Je suis sérieux, Méli. - Je sais. Viens. Je garde caleçon et mon T-shirt. Mon érection est moins affamée que dans la salle de bains. Ça me convient. Je risque moins de faire le con après la douche crapuleuse avec sa mère. Je me glisse sous le drap. Elle m'allonge et me caresse le torse par-dessus le tissu tout en m'embrassant. Je ne résiste pas au baiser, cette fois. C'est un moindre mal, entre nous. Ses lèvres sont deux petites amandes fermes et rebondies, elle sent bon le soleil et les rochers humides, la mousse sur les arbres en été. Elle me caresse le visage, nos langues se mêlent, j'ai le coeur qui ...
... s'affole, elle est pleine de fougue et d'envie, elle gémit doucement, j'ai une conscience folle de sa nudité innocente à côté de moi, de ses petits seins pointus qui effleurent mon bras, mon torse, du creux de son dos si doux sous ma main... Elle se cambre, féline, elle veut que je descende, que je la découvre... Je sais que ce n'est pas bien et que je vais le regretter. Mes doigts parcourent la courbe de ses petites fesses, les flattent, les tâtent. Elle frissonne sous mes caresses, et s'enhardit, elle se soulève sur un bras et remonte d'un bond sa poitrine vers mon visage, vers ma bouche. Je lèche les tétons, les aspire, en apprécie la raideur drue, je lape la texture ferme de chaque sein et m'enivre du parfum sucré de Mélissa, qui respire silencieusement, profondément, de peur sans doute que je n'arrête ce petit jeu amoureux et déplacé. L'idée même de lui demander de partir disparaît lorsqu'elle glisse sa main dans mon caleçon et s'empare de ma queue à-même la peau, du bout des doigts. Elle m'embrasse sur la bouche, puis descend vers mon menton, mon cou... elle passe sous le drap. Ses lèvres parcourent mon torse, elle mordille mon T-shirt pendant que sa main empoigne fermement ma bite tendue, qu'elle branle des couilles au gland dans un mouvement régulier et maîtrisé. Je me demande si elle a déjà fait ça... un volcan s'allume dans mon ventre, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle glisse son corps frêle le long du mien, sa bouche effleure mon nombril, elle soulève ...