1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°791)


    Datte: 23/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tranches des livres sur des rayonnages hauts placés de la Bibliothèque, Chris n’avait pas pu tenir à juste attendre sans rien faire devant cette caverne d’Ali Baba de trésors littéraires. Passionnée de culture, elle avait vite eu fait d’attraper un escabeau pour se délecter d’ouvrages qu’elle aurait tant voulu posséder. Le Marquis d’Evans s’approcha alors tout doucement. Chris absorbée à découvrir des titres d’œuvres du XIII ème siècle n’entendit pas venir le Maître des lieux. Alors, Il lui saisit une cheville et lui passa doucement la main sous la jupe noir, remontant le long de ses jambes. Elle avait poussé un petit cri de surprise tout en ayant faillir lâcher un exemplaire rare d’un Cantique des Créatures de Saint François d'Assise, écrit dans le dialecte italien de l'Ombrie autour de 1220, quand elle avait senti une main s'insinuer sous sa culotte. Quand elle vit qui était le propriétaire de cette main plus que baladeuse, elle se sentit rassurée et se laissa faire sans dire un seul mot. Elle lui sourit même appréciant cette entrée en la matière. Quoi de plus excitant d’avoir enfin en face d’elle celui qu’elle était venu rejoindre et, de plus, dans Sa Bibliothèque et, de plus est, sur un escabeau ! D’un signe du doigt sur la bouche, Il lui avait intimé l'ordre de se taire faisant comprendre qu’elle devait se laisser faire sans broncher. Chris n’avait d’ailleurs aucune envie de se rebeller, bien au contraire, elle appréciait déjà les doigts vicieux du Marquis lui ...
    ... fouiller sa chatte qui ne tarda pas à s’humidifier d’avantage .... Tout s'était passé très vite, sans fioritures. Soulevée et descendue de son perchoir par les bras musclés du Noble, plaquée contre l’étagère, les fesses reposant sur un petit rebord dépassant de l’étagère, assise ainsi le dos contre les livres, Chris écarta instinctivement les jambes. Il avait déjà troussé sa jupe et baissé sa culotte. L’embrassant de mille et fougueux baisers dans son cou et sur sa bouche si chaude les deux langues s’entremêlaient. Il lui tenait les bras écartés en l’air et plaqués eux aussi contre les parois séparant les livres. Puis il avait sorti sa queue sans plus de préambule tant la passion, la fougue de s’accoupler était intense et, lui soulevant une jambe d’un petit coup de Sa hanche, il s'était enfoncé en elle sans ménagements. Et c’est si excitée, qu’elle sentit Ses coups de butoir. La volumineuse bite labourait son ventre. Soudain, au bout de quelques minutes le sperme avait jailli en elle, en de longs jets épais et dans des râles de plaisir que le Marquis laissa s’échapper. Elle jouissait en même temps en ne pouvant pas retenir ses cris qui résonnèrent dans toute la pièce, elle sentait son souffle court dans son cou. Puis Il s'était dégagé, satisfait - Tu es une bonne chienne … Rhabille-toi et agenouille-toi Elle s'était tant bien que mal rajustée et ne savait comment essuyer le liquide qui s'échappait de son vagin et coulait le long de ses cuisses et lui collait ses bas noirs contre s ...
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