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Histoire de jardinage et de voisins
Datte: 24/02/2018, Catégories: Gay Humour, Partouze / Groupe
... rictus. Mais Léa en a décidé autrement. Pourquoi nous cacher les uns aux autres. La honte ? Me cacher à son mari, moi l'amant qui pourrait être son père ? Par vice ou par la perversité de pouvoir imaginer d'autres amants qui s'activent ? Qui s'activent ! A propos de bouger c'est lui qui s'y colle. Léa, plaquée contre moi, bloquée par mes bras autours de sa taille est secouée par l'ardeur de son mari. Il l'encule tel un forcené qui doit aller prendre un train. Mais on sait bien que c'est l'envie, la bestialité sous jacente à l'acte d'amour, qui le propulse si fort. Moi aussi, bien sur je suis aux premières loges.À chaque retrait, ma queue retrouve un peu d'espace, mais c'est pour être encore plus étouffée lorsqu'il l'encule à fond. C'est bon, un peu comme si on me branlait dans un fourreau si soyeux, tendre et humide. Dix fois, vingt fois, cent fois il la bourre. Léa ne cesse de gémir. Chaque avancée est un petit cri, chaque reculade, un regret. Sa bouche toujours collée à la mienne est un réceptacle de son plaisir. Je ne sais si elle a un orgasme mais en tout cas elle a un plaisir fort. La jouissance est une libération. Son sperme facilite ses dernières poussées. Maintenant il glisse dans sa liqueur et petit à petit son sexe fond. La pression est plus faible. Enfin, il se retire. Léa ...
... devient plus légère sur moi. Elle peu se redresser et aussitôt me chevauche. Il lui faut conclure, aller chercher cette orgasme que son mari a mis en branle. Il ne lui faut pas bien longtemps pour se baiser et couler. Il était temps je ne peux plus me retenir et moi aussi balance ma purée. Ah que j'aimerais pouvoir regarder mon jus couler hors du vagin et aller se mêler à celui du mari pour former un torrent et inonder notre maîtresse.Mais tout a une fin. Aux mouvements du lit je pense que mari et femme sont maintenant allongés à coté de moi. Au loin une horloge sonne quatre heures. Il faut que je rentre, tout à l'heure des amis viennent chez moi. Je me lève. Dans le noir je tâtonne. Derrière moi une présence. Au bas de l'escalier une lampe s'éclaire. Léa est avec moi. Elle m'aide à retrouver mes vêtements. Sans un mot elle me regarde m'habiller. Arrivés à la porte elle vient m'embrasser. Un long baiser. J'ai le temps de remarquer une pile d'habits soigneusement pliés. Ceux de son mari j'imagine. Nous nous quittons et au moment ou elle ferme la porte j'aperçois une montre posée sur la table. C'est drôle, j'ai déjà vu ce boitier quelque part. Mais ou, pensais-je, alors que je monte dans la voiture que j'avais garée un peu plus bas que chez mon fils. Mon fils ! Merde, je sais à qui...