Plaisirs avec Georges (2)
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
Gay
... me retourne, me caresse les fesses, les embrasse. - Moi ça fait une semaine que je rêve de ton corps -. Il me retourne à nouveau, baisse mon string. Il prends mon sexe, le décalotte, le prend dans sa bouche. Il commence à me pomper tout doucement. Je lui caresse la tête. Il suce avec délicatesse, sans se presser. Je finis d’enlever ma chemise, il remonte vers ma bouche et m’embrasse. Il se relève pour ôter son t-shirt. Je commence a dégrafer son pantalon. Il se déshabille. Je m’assoie sur le lit, les jambes écartées. Il vient à genoux face à moi. Je prends sa bite dans ma bouche. Je lui caresse les couilles et je le pompe. Il me caresse la tête, le dos. Je passe ma langue autour du gland, je descends vers les couilles, je m’y attarde avant de remonter vers le gland et la reprendre en bouche. L’odeur de sa bite est si bon, si enivrant. Georges sort de ma bouche. M’allonge et se couche sur moi. Il m’embrasse et puis se détache un instant pour fouiller dans un tiroir. Pendant les années passés ensemble je n’ai jamais arrête d’être émerveillé par sa dextérité dans cette chose si nécessaire à l’amour et si peu romantique : me lubrifier. Ce soir là, aussi, il le fait d’une manière très naturelle, en me doigtant légèrement. J’écarte et je relève mes jambes pour me donner à lui. Il passe sa bite deux ou trois fois entre mes fesses, puis il s’arrête sur le seuil. - Prends-moi - lui dis-je en le regardant dans les yeux. J’ai envie d’être à toi, de te sentir en moi -. Il s’enfonce en ...
... moi. Je crie. Je sens son sexe me pénétrer profondément. Je gémis de plaisir et le serre contre moi. Georges bouge lentement. Il me donne des longs coup. Je sens sa bite très raide aller et venir. Il se relève à genoux et il commence à aller plus vite en moi. Je crie de plaisir et je n’ai pas besoin de me branler : je jouis en criant. Georges se recouche complètement sur moi, m’embrasse sur le cou, les yeux, la bouche. Je le sens proche de l’orgasme, le presse contre moi. - Mon amour – je lui dis dans l’oreille quand il commence à jouir en moi. Je sens son sperme gicler en moi, abondant. Nous sommes épuisés. - Reste en moi, chéri -. J’aime le sentir encore en moi et se relâcher. Je suis heureux et lui aussi, je crois. Je me lève pour aller à la salle de bain. Après, je le trouve en robe de chambre, je passe une serviette autour de ma taille. On est prêt pour un tour de l’appartement, puis un dernier verre avant d’aller nous coucher. Le lendemain matin, pas complètement réveillé, je sens Georges se presser contre moi. Il m’embrasse dans le cou, me caresse, presse sa bite, déjà raide, contre mes fesses. Il y a un peu de lumière dans la chambre, une lumière propice à l’amour. Je fais pour me retourner, mais il m’en empêche : - Ne bouge pas, Lou. Surtout pas -. Je lui obéis, je ne demande rien de plus que d’être à lui. Il me prépare avec son doigt. Il me laisse sur le ventre, mais il me cambre pour pouvoir me prendre. Il m’enfile à fond, je gémis de plaisir. C’est banal à dire, ...