Pas vu venir (8)
Datte: 27/02/2018,
Catégories:
Transexuels
Bonjour à toutes et tous Tout d’abord merci pour vos messages. Reprenons la suite. Après un réveil difficile et beaucoup de questions, Nathalie vint frapper à ma porte et m’empêcha de trop réfléchir. A ses dires, les garçons étaient prêts à me donner les vidéos et surtout la clef de ma cage de chasteté. Je ne vais pas vous refaire toute l’histoire mais en l’espace d’une soirée, tout avait basculé. J’avais tout accepté, jusqu’à me faire prendre par mon meilleur ami et Jean-Marc. Ce gars-là, je le détestais, et pourtant c’est à lui que j’avais le plus obéi. Après avoir descendu les escaliers de mon immeuble, j’arrivais dans la rue. Hier encore, je ne pensais pas que j’aurais eu le courage de sortir ainsi. Les garçons voulaient me voir habiller en secrétaire. J’avais été surprise de leur choix, mais ça me rassurait de ne pas sortir habillée en chienne en chaleur. Ils m’avaient envoyé un taxi pour venir me chercher. A peine sortie dans la rue, le chauffeur la quarantaine, sortie lui aussi de son véhicule et m’interpella. — Bonjour, vous êtes Julie ? De peur de parler, je lui fis signe oui de la tête. Il m’invita à m’assoir à l’arrière du véhicule. N’ayant pas l’habitude, je m’aperçus qu’en m’asseyant ma jupe remonta au-dessus de la lisière de mes bas. Il ne rata rien du spectacle. Un sourire aux lèvres, il referma la porte. Une onde de chaleur me parcourut le corps sans que je puisse dire pourquoi. Il démarra la voiture et au bout de la rue, le taxi m’annonça que nous devions ...
... aller chercher une autre personne. Je n’osais même pas demander de qui il s’agissait, toujours de peur de parler. La voiture roulait doucement dans les rues de Paris. A plusieurs reprises, je surpris mon chauffeur me regarder via son rétro intérieur. Pour vous le décrire, il était brun, cheveux courts, yeux clairs entre le bleu et le vert assez trapu et grand, un bon mètre quatre-vingt-dix. À côté de lui je me sentais encore plus femelle. Enfin femme pardon. Un vrai mâle... Perdu dans mes pensées, je n’avais pas fait attention que la voiture venait de s’arrêter devant un grand immeuble. Je ne connaissais pas du tout cet endroit. Le chauffeur descendit du taxi et attendit devant la porte de l’immeuble. Qui allait bien pouvoir sortir de cette porte. À vrai dire j’appréhendais beaucoup. L’attente ne fut pas longue. La porte s’ouvrit et le voilà qu’il sort. Jean-Marc était là. Tout sourire. Le chauffeur et lui se dirigèrent vers la voiture. J’aurais voulu m’enfuir à ce moment-là. Arrivés à la voiture, le chauffeur ouvrit la porte arrière et Jean-Marc s’engouffra. Je venais pour le voir, pour lui parler le raisonner, et voilà qu’il était tout sourire devant moi. Le chauffeur monta dans la voiture. Il allait démarrer lorsque Jean-Marc prit la parole. — Attendez cinq minutes avant de démarrer. — Alors ma belle, je vois que tu es venue comme je te l’ai ordonné. Il s’adressa à nouveau au chauffeur. — Comment la trouvez-vous ? Et soyez franc et direct. Elle aime ça. Je le fusillais du ...