1. Valérie : l'insoupçonnée (13)


    Datte: 27/02/2018, Catégories: Hétéro

    ... baiser et elle est déjà agenouillée devant moi, ma bite dans la bouche. Là où nous sommes, nous pourrions être vus, mais personne ne passe sur le chemin. Valérie est surexcitée. Elle m’attire vers le bas, s’allonge dans l’herbe et m’entraine sur elle. Je la pénètre assez vigoureusement : — Oh ! Oh ! Oui ! Encore ! Oui ! Baise-moi ! Baise-moi ! Plus fort ! Je la pilonne, elle jouit mais je ne m’arrête pas. Elle jouit encore. — Mon Dieu ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Deux orgasmes se succèdent juste avant que je jouisse à mon tour. Quelle arrivée ! — Salut ! Tu vas bien ? J’explose de rire. Nous nous relevons et Valérie vient s’assoir dans le "transat". Complètement nue cette fois. Je lui dis que j’ai adoré son petit jeu du matin. Elle rit, fière de son effet. Nous mangeons rapidement puis je fais un long cunnilingus à Valérie, refusant ses supplications à venir en elle. Je dévore son abricot durant plus de vingt minutes, la faisant jouir et jouir encore. Trempée de sueur, à bout de souffle, elle m’implore d’arrêter et après s’être remise de ses émotions, elle me récompense d’une prodigieuse fellation qu’elle avale sans broncher. Nous faisons l’amour alors que nous savons que nous sommes très en retard mais l’envie est plus forte. Valérie me montre encore un sein devant son travail. Je fonce pour arriver au bureau, mais il est 15h et mes collègues sont au café. Mon boss semble m’attendre et ses yeux valent toutes les remarques. Je m’écrase et bosse comme un acharné jusqu’à ...
    ... 19h30. Le temps pour Valérie et moi de fixer notre prochain rendez-vous au "Paradis" au mercredi suivant. Le jour dit, la chaleur est manifeste dès les premières lueurs du jour : pour la troisième nuit consécutive, la chaleur n’est pas descendue sous les 20°C. A 10h du matin, il fait déjà 28°C. A midi, je suis ravi de m’allonger dans l’herbe et à l’ombre au "Paradis". Il y ferait presque frais. Valérie arrive cinq minutes après moi. Minijupe plissée bleue, top blanc à fines bretelles, divine. Elle m’embrasse et vient à l’ombre elle aussi… Un nouveau baiser et Valérie est à califourchon sur moi et déboutonne déjà mon pantalon en lin. — Il fait trop chaud pour travailler, j’ai pensé à notre rendez-vous toute la matinée. Elle glisse aisément sur mon sexe et ondule lentement. Elle jouit puis m’emmène à mon tour à l’orgasme. mrbmhhlg Après le repas, à nouveau expédié, je me délecte de son anus trempé de sueur. Valérie est couchée dans l’herbe, sur le côté et j’ai le nez entre ses fesses. Sa rondelle s’ouvre désormais plus vite. Je fais durer le plaisir et Valérie jubile. Remontant ensuite le long de son corps en l’embrassant, je passe ma main entre ses fesses. Du bout de mon majeur, je caresse le tour de son petit trou dilaté. Valérie sourit, nous nous embrassons et je glisse une phalange dans son anus. A mesure que notre baiser se poursuit, j’enfonce mon doigt plus loin dans son cul. Seconde phalange. Et mon doigt. Lentement je vais et viens. Valérie a un regard étrange : — Arrête… Je ...