Police xstory (3) - Catfight club (2ème partie) (1)
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Alors, ma belle, lui dit-il, nous n’allons pas rester à regarder seulement ces deux-là. Je t’ai vue à poil sur le ring, et je ne pense pas que tu comptes rester habillée et passive. Il se colla contre Charlotte, enfonçant sa main dans son décolleté qui baillait généreusement. Elle ne le repoussa pas, mais au contraire plaqua sa paume contre son sexe gonflé, la faisant monter et descendre lentement. Si Boris éprouvait la fermeté de ses seins, en les enserrant dans ses grandes mains, Charlotte prenait elle aussi la mesure de ce dont la nature avait doté le russe: elle ouvrit la braguette, qui menaçait d’exploser, et en extirpa une queue énorme, aussi longue qu’épaisse. En un tour de main, Boris débarrassa Charlotte de son tee-shirt et de sa jupe. Elle non plus ne portait rien dessous. Elle était partie de chez elle sans soutien-gorge, comme elle le faisait souvent, et elle n’avait pas retrouvé son string quand elle s’était rhabillée après son combat, au Catfight club. Sans doute une petite vengeance de Samantha… Ce qui valut à Boris le plaisir de redécouvrir sa chatte toute lisse. Charlotte, pendant ce temps, ne restait pas inactive. Avec dextérité, elle fit sauter la boucle de la ceinture du russe, déboutonna sa chemise, baissa son pantalon et son boxer. Il l’aida, en ôtant lui-même ses vêtements, pour se retrouver lui aussi dans le plus simple appareil. D’un coup d’œil discret, Charlotte jaugea la bête. Et eut un choc. Boris était taillé comme un rugbyman ou un catcheur: ...
... très grand, une carrure imposante, tout en muscles, de cuisses plus larges que le tour de taille des filles, son torse était barré de deux cicatrices, datant de l’époque où il s’était fait une place dans le milieu russe. Mais c’est surtout sur sa queue que le regard de Charlotte s’attardait… Elle se lova contre lui, en le branlant doucement, et leva la tête, ses lèvres entrouvertes et humides. Boris comprit le message, et se baissa pour l’embrasser, en explorant les parties les plus intimes de son corps de ses mains puissantes. Malgré sa force, il était capable de douceur et de sensualité, sachant exacerber le désir de sa partenaire. Il installa Charlotte confortablement sur un canapé. A demi étendue, elle écarta les cuisses, pour dévoiler sa fente d’où coulait une sève translucide, et elle empoigna l’énorme tige pour la guider vers sa bouche. Elle commença par la lécher, en regardant Boris dans les yeux. Sa langue montait et descendait lentement, des bourses jusqu’au gland, puis se mit à tourner autour de ce dernier, l’enveloppant de salive. — Tu en avais déjà vu d’aussi grosses?, demanda Boris, sur de lui. — Disons… qu’elle fait partie des plus imposantes, répondit-elle, avec un sourire coquin. — Tu verras quand elle sera dans ta chatte, reprit le russe, vexé par la réaction de Charlotte. Je vais te faire hurler de plaisir, tu vas même me supplier d’arrêter, tant tu seras épuisée. Quel macho!, pensa Charlotte. Mais au lieu de poursuivre cette joute verbale, elle posa de petits ...