Confidences
Datte: 28/02/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
médical,
hotel,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
fsodo,
... dominer et même parfois cela peut aller jusqu’au désir d’être quelque peu… euh… humiliée.— Comment ça ?— Par exemple, la fessée à la main ou avec un ustensile, cul nu comme une gamine mal élevée.— On ne dirait pas, à la voir.— Il est même arrivé que cela se fasse en public.— Non ! Raconte. — Il va falloir que je fasse attention au personnel hôtelier. Il a l’air de craquer facilement avec toi.— Rassure-toi ; j’ai fréquenté nombre d’hôtels et toute la gent féminine qui y était employée n’a pas succombé à mon charme. Tu connais les deux exceptions qui ne font pas la règle.— Et c’est là que s’achèvent tes équipées ?— Presque.— Tu as eu d’autres aventures ?— Oui.— Raconte. — L’invite était claire.— Aussi je m’empressai de vérifierillico ses bonnes dispositions. Ce matin-là, nous ne travaillâmes pas beaucoup. De ce jour, régulièrement, nous nous adonnâmes aux plaisirs de la chair. Elle avait du tempérament et un certain sens de la provocation.— De la provocation ? — Je veux bien te croire. Au fait, pourquoi après plusieurs années s’est-elle mise à te faire des avances ? — A-t-elle continué à les porter ? — Travaille-t-elle toujours avec toi ? interroge Julie, une pointe de soupçon dans la voix.— Non ; rassure-toi : elle est partie depuis presque deux ans. Son mari a obtenu une promotion flatteuse en province. Cela a entraîné une grande explication qui a été bénéfique à leur couple. Elle l’a suivi et vient, il y a deux mois, de donner naissance à leur troisième enfant. Mais c’est ...
... il y a un peu plus d’un an qu’elle m’a le plus étonné.— Comment cela ? Elle était déjà partie ! — Ça ne devait pas améliorer le rendement…— Nous ne passions pas nos journées en parties de jambes en l’air. Quand il y avait du travail, celui-ci avait la priorité et nous pouvions rester des jours et des jours sans qu’il ne se passe rien. Mais à d’autres moments, c’est vrai que ce fut torride ; entre autres quand ces dames se laissaient aller à œuvrer de concert.— Ah ! Parce qu’elles le faisaient aussi en duo ?— De temps en temps, toujours à leur initiative. Enfin, je ferais mieux de dire à l’initiative de Sophie, car peu nombreuses furent les fois où ce fut Isabelle. Généralement, cela se passait en deux temps. J’œuvrais avec l’une d’entre elles et l’autre venait nous rejoindre.— Elle avait vraiment le feu au cul ! Quand son mari a cessé de s’en occuper régulièrement, elle a dû se sentir grave en manque. Quand l’occasion d’éteindre l’incendie se présentait, elle y allait de bon cœur. Elle ne devait pas hésiter à prendre des initiatives. — Et ?— Elle ne se démonta pas. Elle reconnut avoir poussé la petite nouvelle à suivre son exemple car elle avait surpris par deux fois, en moins d’une semaine, des conversations où il était évident qu’Isabelle était portée sur la chose. Elle avait pensé que quelques petits extras devraient lui plaire. Elle avait donc un peu aidé à la manœuvre en lui donnant de bonnes raisons et bonne conscience. Néanmoins, après avoir discuté un peu plus, elle ...