Stagiaire à l'autre bout du monde
Datte: 28/02/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
occasion,
... profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. Sentir une queue en elle et une main sur son petit bouton la fit décoller pour de bon. Elle se cabra, frissonna et soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi. — À toi de jouir, me dit-elle après avoir repris ses esprits, alors que j’allais encore en elle, doucement, au bord de l’explosion. Elle se mit à genoux et ouvrit la bouche. — Ma bouche est toute à toi. Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je me masturbais à quelques centimètres de son visage. — Une bonne giclée pour ma stagiaire, hein ? Une bonne giclée de foutre pour cette belle petite… Le dernier mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, son cou, ses seins. Ma semence blanche et fluide macula avec délice sa belle peau bronzée puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place. Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre avant de descendre entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle prit ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder. — En tout cas, les clients ont beaucoup d’idées intéressantes, ...
... merci beaucoup pour cette leçon. J’ai beaucoup appris.— Je peux encore vous apprendre des choses, mademoiselle.— Oh mais cela m’intéresse monsieur. C’est important pour moi d’en savoir plus sur ce domaine. J’aime apprendre pour mon métier et je veux être une bonne gérante d’hôtel plus tard mais je dois filer. Je reprends le service dans très peu de temps mais je connais votre chambre. Je vous ferai signe.By the way, my name is Anaïs, conclut-elle dans un anglais parfait. Et elle fila, me laissant rêveur au milieu de ce coin de paradis. Ainsi, ma belle naïade s’appelait Anaïs. Elle me plaisait tant non pas car elle était belle et élégante mais car, de cette beauté et de cette élégance se dégageait un je-ne-sais-quoi d’extrêmement sexuel. Comme si tout son corps réclamait les ébats les plus sulfureux, comme si sa discrétion bourgeoise, sa précieuse féminité n’aspiraient qu’à une chose : se faire dépraver, se faire soumettre, se faire explorer. Le genre de femme qui, élevée comme une princesse dans les bonnes manières et dans une vision propre, angélique et innocente de la femme, n’aime qu’une chose : salir cette image par les gestes et les mots les plus crus, les plus osés. J’eus une dernière réflexion avant de retourner à l’hôtel. Pour être tout à fait honnête, ce n’était pas vraiment une réflexion. C’était plus simplement une pensée. Ce qui m’arrivait vérifiait à merveille l’adage populairequi ne tente rien n’a rien. Car, qu’avais-je fait en allant me promener seul et hors des ...