Le fabuleux destin de Benjamin (7)
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... peloter les seins. Elle ne chercha plus à lutter, et s’abandonna aux caresses de son beau-frère. Paul, voyant que Christelle ne bronchait pas, avait défait des boutons de son corsage, et avait glissé ses mains à l’intérieur pour lui peloter ses seins bien fermes. Christelle ne contrôlait plus son corps, elle glissa une main entre elle et Paul pour empoigner la grosse queue qu’elle sentait contre ses fesses. Et tandis que Paul avait fini par sortir ses seins de son corsage et lui pelotait fermement, elle fit descendre la fermeture éclair du pantalon de Paul pour glisser sa main dans son slip et faire sortir cette grosse queue qu’elle sentait palpiter entre ses doigts. Elle dut la lâcher pour laisser Paul lui retirer son corsage, suivi rapidement par son soutien-gorge. Elle reprit rapidement possession de cette queue qui lui faisait tant envie. Elle était maintenant à moitié nue au milieu du salon de ses parents, en train de branler la queue de son beau-frère, et celui-ci faisait rouler ses tétons durs d’excitation entre ses doigts. Cela procurait un plaisir inouï à Christelle, qui contrairement à ce que son éducation puritaine aurait dû lui dicter, s’abandonna totalement aux caresses de Paul. Elle branlait toujours sa grosse queue, quand il glissa une main sous sa jupe pour aller lui caresser la chatte. Elle était tellement excitée, qu’elle écarta les cuisses avant même qu’il ne pose sa main sur sa culotte trempée par son excitation. Paul lui dit : — Tu es comme ta sœur, une ...
... vraie petite salope. Christelle ne répondit pas, mais elle ne put qu’admettre que Paul avait raison, elle était une salope qui se faisait caresser les seins et la chatte par son beau-frère au milieu du salon de ses parents. Elle sentit la main de Paul se glisser dans sa culotte, ses doigts prirent rapidement possession de sa chatte en feu. Elle était presque soulagée de sentir enfin sa chatte remplie par quelque chose, elle ouvrit davantage les cuisses pour faciliter l’accès des doigts de Paul à sa chatte. Elle se mit à gémir sous le doigtage de Paul, elle avait de plus en plus de mal à branler sa grosse queue. D’un seul coup, alors qu’elle se faisait fouiller sauvagement la chatte par son beau-frère, ils entendirent un cri de jouissance. Christelle fut frustrée quand Paul s’arrêta de lui fouiller la chatte pour lui dire : — Je crois que ta sœur prend son pied avec la queue de ton mari. Christelle les avait complètement oubliés, mais dans la situation où elle se trouvait, elle ne pouvait pas reprocher à sa sœur de prendre du plaisir avec Michel. Paul, qui adorait voir sa femme se faire baiser par un autre, lui proposa : — Viens, on va aller voir ce qu’ils font. Christelle, un peu prise au dépourvu, se mit à avancer vers le couloir, Paul la retint par les hanches et lui dit : — Attends, on va te mettre plus à l’aise. Elle le sentit tirer sur les côtés de sa culotte, et lui faire descendre jusqu’aux chevilles. Elle l’aida à lui retirer en soulevant les pieds pour se retrouver ...