Initiation d'une jeune bourgeoise - 13 -
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
... mit à genoux.Camille eut un peu de mal à défaire sa ceinture et il dut rentrer son ventre quelque peu proéminent pour qu'elle arrive, enfin à défaire les boutons de son pantalon.Elle le baissa, et sous un caleçon ample, apparut une verge tendue d'une imposante longueur et grosseur.Je pensai être bien pourvu par dame nature, le petit homme me dépassait largement en dimensions et voir un tel mandrin arboré par un tel corps avait quelque chose de grotesque. Dans des temps plus anciens, nul doute qu'il fut exhibé par un quelconque cirque en monstre de foire.-- Tu vois salope, je t'avais pas menti en parlant de cheval.. j'espère pour toi que tu es bien calibrée parce que, sinon, tu vas la sentir passer...-- Je vois Marcel, vous êtes monté comme un étalon ! Et vous sentez aussi bon!-- J'aime quand ça pue ! Ferme là et ouvre grand la bouche pour me sucer !Avec une grimace de dégout , elle commença à lécher ce sexe mal odorant et puis elle essaya , tant bien, que mal de l'introduire entre ses lèvres.Elle y arriva un peu mais ne put jamais l'enfoncer totalement.-- Je le savais , remarqua t il , les salopes blanches ne peuvent jamais faire ça convenablement.Il la releva brutalement et la poussa sur le lit.-- Fous toi à quatre pattes, je vais te commencer en levrette !Elle obéit.Il eut bien du mal à enfiler une capote sur sa bite xxxl. Il y arriva enfin , s'agenouilla derrière Camille et la fouilla de ses doigts potelés.-- Tu mouilles ou tu as mis tout le tube de vaseline ?Elle ne ...
... répondit pas et il s'enfonça en elle sans aucun ménagement.Elle cria un peu .-- Je t'avais dit que tu la sentirais passer !Elle se détendit et la mortaise finit par accepter le tenon.Malgré tout ses puissants va et viens lui arrachèrent encore quelques moments , des grimaces de douleur. Heureusement, si le tonton était monté comme un étalon, il n'en avait pas l'endurance.Dégoulinant, le souffle commença à lui manquer et il s'épuisa vite.Il dut, à son corps défendant, s'interrompre et se laissa tomber sur les draps.-- Viens me chevaucher ma salope !Toujours muette, mon épouse vint s'installer entre ses cuisses et s'empala sur le pieu toujours aussi raide.Il eut tout loisirs, de tendre les mains et de s'emparer de ses seins qu'il tritura sans délicatesse.Fernand était un rustre, il ne faisait pas l'amour, il baisait rageusement.Il attira sa tête vers la sienne et lui réclama un baiser qu'elle ne refusa pas.L'haleine fétide de son parrain la dégouta et elle se détourna vite, lui chuchotant quelques obscénités pour masquer sa répulsion.Son vagin irrité commença à donner quelques signes de sécheresse. Elle voulut se désunir de lui , il ne l'entendit pas de la même oreille..-- Reste encore ! Tu n'es pas bien sur ma grosse bite ?Elle prétexta une crampe naissant à la cuisse pour interrompre le coït.-- Tu as raison , finit il par accepter, tu vas te remettre en levrette pour que je puisse t'enculer.-- Non mon chou, tu ne vas pas rentrer par là, ta bite est trop grosse pour moi ! osa t ...