Paul et Béa - Histoires de Sexe

Paul et Béa

... le gros pour devant et le plus petit pour le derrière.— Allez, avance, les gars ne nous lâchent pas du regard, on finit le tour et on s’en va. Plus loin, d’autres rayons étaient destinés à ceux qui aiment le sexe un peu plus hard, on pouvait y trouver des menottes, des fouets, des pinces à linge, des cordes, des écarteurs, des masques, et de nombreux autres objets dont on n’imaginait même pas l’existence ni l’utilité. — Paul, tu sais à quoi ça sert ça ?— Je pense que c’est pour maintenir la bouche bien ouverte de la personne qui le porte.— Et ça, ce tube en verre avec cette poire au bout ?— Peut-être pour mettre la bite dans le tube et pomper pour faire monter un maximum de sang jusqu’au gland… Enfin, je pense, ou pareil sur la chatte peut-être.— Et ça, à ton avis ?— Aucune idée, on n’a jamais rien vu de pareil dans les films pornos. Pris dans nos observations de tous ces articles plus étranges les uns que les autres, nous n’avons pas vu que le plus jeune des deux gars s’est approché de nous pour nous interroger : — Si vous le souhaitez, vous pouvez passer dans la salle derrière cette porte au fond du couloir, il y a des pièces où vous pouvez vous enfermer pour regarder des vidéos qui vous expliquent comment s’utilisent certains de ces objets en les sélectionnant sur un écran tactile. Merde, il parle le français aussi bien que nous celui-là. Surprise, j’ai répondu instantanément : — Non,.. euh, non, non, je vous remercie, ça ira.— Très bien, je vous laisse poursuivre votre ...

... visite, si vous avez besoin d’un renseignement, surtout n’hésitez pas, je suis là à votre service.— Merci. Puis en chuchotant à l’oreille de Paul : — Allez, on s’en va maintenant,— Tu ne veux pas qu’on lance un coup d’œil dans les salles de derrière ?— Non, non, c’est bon, allons-y.— Même pas un petit achat ?— Si tu veux, mais vite fait, alors.— Bon, on prend le gode double.— Mon dieu, quelle honte ! On ne traîne pas, prépare l’appoint avant d’aller en caisse. Arrivés en caisse, Paul pose le gode que nous avons choisi sur le comptoir et l’appoint en monnaie. L’homme encaisse, nous tend un ticket, range notre achat dans un sac papier et c’est avec un grand sourire qu’il y ajoute un petit tube de vaseline. Ouf ! Enfin dehors, avec notre sachet qui contient ce petit jouet source de certains de mes fantasmes. Arrivés à l’hôtel, puis nus dans le lit, comme à son habitude Paul commence par envoyer sa main sur mon sexe. — Eh bien, ma chérie, tu es trempée ! Excitée par notre visite du sex-shop ? Ou par notre petit achat que tu as envie d’essayer ?— Hummm, caresse-moi, comme ça doucement…— Tu ne réponds pas ?— Non, pas besoin du jouet pour le moment. Glisse-moi tes doigts dedans…— Cochonne, attrape ma queue et branle-moi lentement, moi aussi j’ai besoin d’être soulagé.— Ah, ouiii ! Mais ne frotte pas trop mon clitoris, j’ai envie que ça dure un peu…— Cochonne, excitée comme tu es, je suis sûr que tu fantasmes sur ce qui aurait pu se passer si nous avions poursuivi la visite du sex-shop ...