1. Pris la main dans le bac (3)


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Salut c’est votre folle de lycra Dans les chapitres précédents je vous racontais comment je m’étais fait prendre par Catherine alors que j’avais enfilé c’est dessous usagés, j’avais été les récupérer dans le bac à linge sale de chez elle. Nous nous connaissions très bien et elle m’a surpris une fois dans sa chambre totalement travestis avec ses vêtements. Il faut reconnaître qu’elle l’a bien pris et du coup je me suis retrouvé à lui faire l’amour ainsi vêtu. Pour la première fois de ma vie j’étais l’amant d’une femme mariée, le plus beau c’est que le lendemain je me retrouvais l’amant d’une deuxième femme mariée prénommée Geneviève. À noter que j’étais toujours dans la même tenue féminine peu en ma faveur. Ce dimanche-là je me retrouvais donc amant de deux femmes mariées et d’un âge certain, facilement 20 ans de plus que moi. Le plus drôle c’est que ces deux femmes étaient clientes dans l’hypermarché où je travaillais, nos regards ne se croiseraient plus de la même façon désormais. Après cette aventure d’un weekend nous avons repris nos aventures avec Catherine sauf que maintenant Geneviève nous accompagnait presque partout. Quand nous allions au cinéma au restaurant ou au théâtre je me retrouvais entre elles deux. Quand nous étions au restaurant mes deux maîtresses adoraient troubler le serveur en m’embrassant chacune leur tour à chaque fois qu’il passait. De mon côté j’ai trouvé ça très érotique et cela avait la fâcheuse tendance à me donner une bonne érection. Quand ...
    ... nous étions au cinéma toutes les deux me caressaient de la façon la plus efficace en toute discrétion pendant la séance. Il m’est souvent arrivé de ressortir du cinéma sans être capable de dire de quoi parlait le film tant mes deux maîtresses s’étaient bien occupées de moi. J’avais l’impression que ces deux femmes là, quand elles étaient ensemble elles étaient déchaînées sexuellement. En fait quand j’étais là j’ai l’impression que je les excitais rien qu’à me voir. Le plus gênant c’est quand nous allions faire les courses car maintenant elles faisaient leurs courses ensemble; je servais de mannequin pour qu’elles regardent si les dessous allaient leur aller ou pas. Nous faisions attention à faire nos courses très loin du domicile pour ne pas qu’il y ait de ragots à leur égard. Elles prenaient les robes ou les culottes et les posaient sur moi pour voir cela leur convenait. Il m’est souvent arrivé d’avoir à leur brouter le minou dans une cabine d’essayage et honnêtement ce n’est pas désagréable. Le pire que nous ayons fait c’est sur l’initiative de Geneviève alors que nous étions une fois au théâtre. L’ouvreuse avait été fort peu aimable avec ma maîtresse et cette dernière avait décidé de se venger. Geneviève nous a quitté quelques instants puis est revenue me chercher et nous sommes partis à la recherche de l’ ouvreuse dans les couloirs du théâtre. Une fois l’employée retrouvée elle a prétexté un souci au dernier étage là où il n’y avait personne pour la coincer dans un petit ...
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