Ma femme et son amant
Datte: 03/03/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couplus,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
couple+h,
cocucont,
voisins,
Masturbation
J’ai 53 ans, ma femme 49. Nous sommes ensemble depuis trente ans, et depuis peu elle a un amant. Pour être plus précis, je lui ai offert un amant. Bien que nous l’ayons parfois suggéré, jamais nous n’avions imaginé en dehors de nos joutes amoureuses que cette situation puisse survenir. Pourtant elle est, depuis peu, la maîtresse régulière de Christophe, un jeune homme de 33 ans. À mon grand étonnement, cela s’est fait assez naturellement, et le mot est de circonstance car notre ami est exploitant agricole… de produits "bios". Nous nous sommes rencontrés d’abord sur le marché du petit village où nous avons une résidence puis, fervents de la Nature, nous avons eu cet été l’occasion de visiter son exploitation. De là est née une attirance réciproque, et un soir, après un second dîner offert à la maison, il est devenu l’amant officiel de ma femme. Je n’étais pas sans savoir qu’elle lui plaisait car les regards furtifs qu’il lui adressait – et que je surprenais – étaient sans équivoque. Sylvie l’avait remarqué également et, de son propre aveu, elle en était même flattée. Il était venu parfois nous livrer lorsque nous débarquions pour le week-end, et c’est parce qu’une autre fois nous avions même partagé son déjeuner que nous lui avions rendu cette politesse. Avant cette fameuse soirée, il m’était bien sûr arrivé de me demander ce que Sylvie ressentait réellement. Et même de me poser la question de savoir si, les fois où elle s’était rendue seule à l’exploitation, il n’avait ...
... pas tenté sa chance… Le soir de sa venue, Sylvie était très en beauté. Je l’avais vue se préparer et je n’avais pas été sans remarquer qu’elle avait choisi de porter un ensemble très sexy que nous avions récemment acheté par correspondance, tant il est osé. Je mentirais en ne disant pas que ce soir-là j’ai traîtreusement surdosé le punch que je préparai à mon épouse, et que c’est grâce à lui qu’avec délectation j’accompagnai Christophe dans l’observation des cuisses de ma femme que l’alcool rendait de moins en moins attentive à sa tenue. De sa place, il ne rien pouvait rien ignorer de son entrecuisse, et cela était loin de me déplaire. J’ignorais encore à ce stade s’il s’agissait du propre jeu de mon épouse. C’est plus tard que, nous retrouvant pour le service dans la cuisine, j’eus la certitude qu’il lui plaisait d’être coquine. Je fixerai le point de départ de notre conduite à cet instant où, glissant ma main sous sa jupe, je caressai – sans révolte de sa part – son ventre fraîchement épilé et en constatant l’humidité qu’elle me demanda malicieusement « Et ça te dérange ?… » en retournant au salon. Le dîner se déroula dans une ambiance joviale, et elle m’avouera plus tard que c’est au cours de celui-ci que tout a commencé. Elle avait été l’instigatrice de ce qui était survenu. L’appel téléphonique d’un de mes clients m’obligeant à m’isoler momentanément, c’est à mon retour dans le salon que je constatai l’évolution de leurs rapports : ma femme avait quitté son fauteuil et ...