Le bonheur d'être voyeur - Histoires de Sexe

Le bonheur d'être voyeur

... apparaître le cul d’Agnès. Elle portait un string noir. Il se mit à genou et commença à lécher ce cul offert. Je zoomai au maximum et mon sexe zoomait aussi au maximum. Sa langue léchait toutes les zones possibles des fesses de ma femme. Elle haletait de plus en plus. Il lui léchait même la raie des fesses. Une de ses mains passa entre les cuisses pour arriver au sexe d’Agnès. — Tu n’es pas épilée ! Mais bien rasée quand même. Ce n’est pas grave, la prochaine fois, je veux que tu sois douce de partout, fit-il en accentuant la pression sur le sexe d’Agnès. Tu as compris ma belle, épilée à 100% ?— Ouiii si tu veux.— Bien sur que je veux ! Quel cul tu as ! Il se rua à nouveau sur ses fesses. Agnès ne s’était jamais complètement rasé le sexe malgré mes demandes mais sa chatte était toujours rasée de près. Et elle disait oui à ce mec. Putain la garce. — Allez retourne-toi cochonne. Je vais te sucer. Tu vas prendre un pied super. Elle se retourna et prit appui sur le bar. Il écarta alors le string et se mit à sucer ma femme. Quand je vis son visage, je compris qu’elle était dans un état second prête à jouir. Il la lécha jusqu’à ce qu’elle cède au plaisir et finit par crier : — JE Jouiiis.— Je sais ma belle et c’est que le début. Tu vas jouir comme jamais. Je suis sûr que ton mari se contente de te prendre vite fait bien fait. Il ne sait pas te faire jouir comme tu voudrais. Maintenant, je vais me mettre dans une position plus confortable. Il se leva et alla s’asseoir sur le ...

... canapé. Agnès qui n’avait toujours pas repris tous ses esprits resta debout près dur bar. — Enlève ta robe. Agnès hésita un instant et commença. — Enlève-la doucement que je puisse m’imprégner du spectacle. Ma femme fit alors glisser très doucement sa robe. Une épaule, puis l’autre. Puis un sein apparut. Elle se retourna et fit apparaître le deuxième. Elle baissa sa robe jusqu’au haut des reins et fit face à l’homme. — Superbes tes seins. Allez continue, ordonna-t-il. Finalement, elle se retrouva debout face à lui. Elle ne portait plus que son string noir et ses bas noirs. Elle était très sexy comme ça. Par pudeur, je pense, elle cacha ses seins avec ses bras et dit : — Je crois que l’alcool ne me réussit pas. Je perds la tête.— De temps en temps ça fait du bien de se lâcher.— Je ne sais pas si ce que je fais est bien.— Pour nous, si. J’ai envie de toi et toi aussi, n’est-ce pas ? Agnès confirma en hochant de la tête. Le type ouvrit son pantalon à ce moment et sortit son sexe. Son sexe était encore mou mais déjà très gros. Le regard d’Agnès fut captivé par cette vision. — Allez ma douce, viens sucer une belle bite. Elle s’avança et se mit à genou. Quand elle vit de près le sexe de son amant, elle dit : — Quelle est grosse !— Je sais. Elles disent toutes ça et une fois qu’elles y ont goûté, elles ne peuvent plus s’en passer. Allez suce ! Elle se pencha, ouvrit la bouche et avala comme elle pouvait cette bite énorme. Elle s’appliqua, suçant et léchant à la fois. — Vas-y salope, suce ...