L'INCONNU DU CINEMA (6)
Datte: 03/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... que vous n’êtes plus qu’une femelle soumise à toutes les perversités inimaginables. C’est dans ces biens trop courts instants, juste au point de non retour, que votre âme se perd dans ce mélange de sensations plus sales et vicieuses les une que les autres. Et c’est là, que vous sombrez d’un seul coup dans l’abime de la jouissance, espérant que cela puisse durer éternellement, tellement vous êtes submergé de plaisir. C’est en reprenant mes esprits que je sens le sexe de Marc qui ramollit doucement dans mon vagin débordant de liquide séminal, que j’aperçois notre jeune voyeur debout près de nous se tenant encore le sexe tout visqueux de sa propre jouissance. — Bon sens… j’ai jamais vu ça… quel pied — Content que cela t’ai plu mon garçon, mais il faut que je ramène madame à la réalité. Après un léger brin de toilette histoire de ne pas faire trop pute en retraversant la brasserie, marc ma accompagné jusqu’à la boutique que ma vendeuse avait déjà ouverte. Encore toute excitée de ce nouvel épisode j’ai voulu le garder encore un peu — Venez Marc, je vais vous faire visiter — Vous êtes sure ? Et votre vendeuse que va-t-elle penser ? — Vous savez elle se doute déjà que j’ai un amant, alors pourquoi pas — Bonjour Claire, comment allez-vous ce matin ? — Très bien Emilie et vous ? En regardant Marc elle se reprit: — Heu… pardon, bonjour monsieur je ne vous avais pas remarqué. — Claire vous nous faite un petit café que je vous présente mon ami. Marc semblait apprécier la beauté de ma ...
... petite vendeuse car il ne quittait pas ses jolies courbes des yeux alors quelle se dirigeait vers l’arrière boutique. — Vous cherchez à me rendre jalouse ? — La jalousie peut être source de plaisirs, vous l’apprendrez en temps utile et puis cette gamine ne m’appartient pas… du moins pas encore. Ces quelques mots ont raisonné cruellement en moi, regrettant d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie j’ai effectivement ressentie de la jalousie mais je me suis gardé de lui montrer. Claire est revenue avec nos petits cafés, nous regardant avec un air malicieux et plein de curiosité. — Alors vous me présentez votre…ami — Oui bien sur, Marc je vous présente Claire, Claire je vous présente Marc l’ami dont nous avons parlé l’autre jour… Rien qu’a ces mots et à mon clin d’œil, Claire compris tout de suite ce qu’il en était — Ha… je vois et je comprends mieux… — Que comprenez vous mieux, mademoiselle ? — Heu…rien de particulier… ce n’est pas ce que je voulais dire Claire, était toute rouge, consciente d’en avoir trop dit mais Marc en a profité — Et alors, que vouliez vous dire ? Claire me regardait avec des yeux coupables pour que je lui vienne en aide — Ce que Claire veut dire, c’est quelle est au courant pour notre relation particulière — Oui…c’est ça et je comprends mieux… parce que vous êtes…bel homme — Donc si je comprends je vous plais aussi ? — Heu…Non…si, oui… Claire était toute confuse et balbutiait ses mots tout en cherchant à éviter le regard de Marc. Consciente de sa gêne et ...