1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (5)


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Hétéro

    ... pousse à ne pas interrompre cette expérience. « Tu as du saindoux, je crois ? » « Oui, dans le petit placard du buffet, juste à ta droite…. Pourquoi ? » Je sors le pain de saindoux, à peine entamé, et en prélève une noisette sur mon index. Puis, je l’étale sur la longueur du doigt. « Ecartes bien tes fesses, mon amour ! » dis-je, voyant qu’elle s’est un peu relâchée. Eva a un petit sursaut quand mon doigt se pose sur son orifice anal. Le saindoux aidant, mon index commence à s’enfoncer dans son anus. « Aie ! Pourquoi tu fais ça ? J’ai honte… Je… » Une fois l’index entré en entier dans son anus, je commence à faire des aller- retour à l’intérieur, d’abord lentement puis un peu plus vite. Au début Eva ne semble rien ressentir, mais assez vite, elle commence à remuer ses fesses, tendant même son postérieur contre ce doigt qui lui viole son intimité. Elle ôte les mains de ses fesses, pour se tenir à la table : « Hmmm ! C’est bon…c’est booon ! » Toute honte bue, Eva se laisse emporter par l’excitation…. Ce doigt qui fore et pistonne son orifice le plus intime… Elle n’imaginait pas que ça pouvait procurer un tel plaisir. « Ecartes toi un peu de la table ! » Eva se recule un peu. Ma main gauche se pose sur son sexe et aussitôt deux doigts s’enfoncent dans son vagin, ...
    ... déjà passablement humide. Pour être plus à l’aise, je lui demande de se mettre sur le côté. Eva ne se tient plus. Deux doigts fourragent son vagin tandis qu’un autre en fait autant avec son anus. Les jambes écartées, elle gémit en cadence, de plus en plus fort. Elle semble être ailleurs, sur la planète Sexe. Elle en a oublié même l’heure. De mon côté, tout en continuant le pistonnage de ses orifices, je jette un œil à la pendule : deux heures moins vingt ! J’accélère le mouvement ; mes doigts sont englués de mouille, et cela produit un bruit comparable à un clapotis. Puis Eva finit par jouir à nouveau en gloussant, tandis que de la mouille coule sur ses cuisses. Je cherche à garder un moment mes doigts dans ses orifices. vmcvqqot « Tu es vraiment un petit cochon ! Je n’aurais pas cru que… » Elle a honte d’avouer que cela lui a plu… « Toi aussi, tu es une petite cochonne ! Bon, puisque tu sembles avoir l’oublié, je te rappelle que la famille va arriver dans moins d’une demi-heure ! » Eva semble revenir à la réalité. Elle ramasse ses affaires et file vers la salle de bain. Quand ses parents et sa sœur arrivent, nous sommes au premier étage, au salon ; Eva joue un petit air au piano, tandis que je l’écoute, assis à côté d’elle. Fin du 2eme épisode de l’été 1973 
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