Secret de famille (3)
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Il me faudrait revenir le voir. Je m’abandonnais sous ses caresses en n’opposant aucune résistance. J’acceptais ses baisers et laissais ses mains parcourir mon corps, mais je restais, de mon côté, passive. Ma langue, bien entendu, se laissait entrainer par la sienne et accompagnait ses rotations, mais mes mains ne cherchèrent nullement à caresser son corps. Il découvrait chaque courbe de mon corps, s’attardait entre mes cuisses et visitait sans pudeur mon intimité, mais ne chercha à aucun moment à me dévêtir. Ma jupe virevoltait pour offrir mes jambes nues, l’étoffe de ma culotte n’offrait aucune résistance à ses doigts, mais je n’avais pour l’instant perdu aucun vêtement. J’étais pris dans un tourbillon et ne pouvait plus réfléchir à ce que nous faisions, je n’aurais, j’en suis certaine, nullement contrecarré ses intentions s’il avait eu l’intention de me mettre nue, mais il ne chercha même pas à enlever mon soutien-gorge. Je savais qu’il ne continuerait pas son récit aujourd’hui, mais je pouvais aussi affirmer que la suite allait écrire notre propre histoire. La fougue de ses caresses trouvait face à elles, l’embrase d’un corps qui s’enflamme sous ses baisers.J’oubliais qui il était, j’oubliais même qui j’étais, je n’avais qu’une envie, lui offrir ce que je n’avais encore jamais offert à personne. Le savait-il ? Je l’ignore! Il était aussi impatient que moi, enfin je veux dire que son corps, ses mains… tout montraient combien il avait envie et pourtant…Il était ...
... paradoxalement intrépide et patient. L’audace de ses caresses s’opposait à la sagesse de sa « retenue ». En effet, il s’aventurait bien au-delà de ce qui était permis pour un grand-oncle avec sa petite nièce, mais ne chercha pas à prendre ce qui lui était offert. Quand il s’arrêta, il se leva et s’éloigna du canapé sans rien dire. Je ne savais pas ce que je devais faire et encore moins ce que je devais dire. J’étais affalée dans le divan, à moitié allongée, la jupe relevée et les joues toutes rouges. Après une petite hésitation, je me suis repositionnée pour prendre une pose plus convenable, tout en réajustant mes vêtements. Il s’est assis dans l’un des fauteuils qui me faisaient face et me regarda sans rien dire. Je regardais mes pieds et n’osais parler, nous sommes ainsi restés quelques minutes qui me semblèrent être une éternité. Il était face à moi, me déshabillait du regard, il souriait et dodelinait de temps en temps de la tête. - Tu veux du café ? Me demanda-t-il finalement en prenant la cafetière. Je levais doucement la tête vers lui, un peu décontenancé par cette question qui semblait complètement inappropriée étant donné la situation. Il m’offrit son plus beau sourire et l’accompagna d’un clin d’œil. Je le regardais incrédule sans répondre. Il se servit une tasse et reposa la cafetière, puis commença à boire. - Berk, il est froid. Il se leva renversa le contenu de sa tasse dans la cafetière et s’éloigna avec celle-ci.Que devais-je faire ? Quelques minutes plus tard, il est ...