Au théâtre ce soir
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
f,
ff,
cinéma,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
Oral
tutu,
Il y a des gens dans la vie qui vous épatent, qui vous font passer des moments que vous n’oublierez jamais ; vous le savez dès l’instant où vous le vivez. Premier rendez-vous au restaurant, toi et moi. La soirée se passe bien, les mains se touchent, les regards se croisent. On a tous les deux un désir qui naît pour l’autre depuis quelques jours. Nous sommes des adultes et nous avons tous les deux la même idée et, une fois assis sur l’un des bancs du bord de Loire, nos lèvres se rencontrent enfin. Nous en avions envie tous les deux et nous nous libérons de cette attente. Tes baisers sont doux ; il est agréable de se trouver, de laisser nos mains courir sur nos corps. Combien de temps la première salve de baisers a-t-elle duré ? Peut-être une demi-heure ? Qu’importe dans le fond. Alors que nous reprenions notre souffle et nos esprits, tu m’as avoué un de tes fantasmes : avoir une relation homosexuelle. Découvrir le sexe de l’autre côté de la barrière. Nous entamions par ces baisers notre relation que déjà tu m’annonçais que tu allais t’offrir dans un avenir relativement proche ce plaisir qui t’a si longtemps fait rêver. J’ai trouvé cela à la fois d’une audace folle et d’une grande honnêteté. Je me suis toujours dit que les fantasmes devaient s’avouer la première nuit ou dix ans après. De là à le vivre, il y a un fossé que j’ai sauté sans aucune hésitation. Tes mots ont su me convaincre que ce désir, ce fantasme, fait partie de toi. L’avouer dès la première nuit, c’est ...
... intégrer ce désir à la sexualité du couple. Il faut ensuite qu’il soit en béton armé pour y résister si ce fantasme est révélé plus tard, d’où l’idée d’attendre dix ans avant de l’avouer. Mais n’est-il déjà pas trop tard ? Tu voulais donc d’une femme entre tes cuisses. Tu sais reconnaître une femme attirante quand tu en vois une, et tu te connais assez pour vouloir passer à l’acte. Or, depuis que nous sommes ensemble, tu acceptes l’idée de m’intégrer à ton jeu érotique. Cela me flatte, mais je me suis dit que cela allait peut-être aussi retarder le moment où tu passerais enfin le cap. Je me suis donc dit qu’il fallait que je t’offre un hors-d’œuvre en attendant celle qui sera ton plat principal. Je t’emmène dans une salle un peu spéciale, un théâtre comme il doit en exister peu. Non, il n’y a pas de représentations comiques ou dramatiques, et lesMolières du Théâtre n’iraient jamais à aucun des protagonistes de cet établissement s’ils existaient encore. Tu ne sais pas où l’on va, mais veux-tu venir ? Je me suis demandé comment te parler de ce lieu particulier. Le mieux est encore de te prendre la main et de t’emmener devant la porte de ce petit établissement parisien situé à quelques pas des plus grandes attractions touristiques. S’il n’y avait cette femme nue, vue de dos, dressée sur ses genoux, j’aurai pu faire tenir le suspens encore quelques secondes. Tu comprends donc que le plaisir au sens charnel – et sûrement sexuel – du terme règne dans ces lieux. Nous entrons, et déjà ...