1. Le messager grec 2


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sur ses lèvres. -Approche toi que je t'emprisonne dans mes cuisses par Eros. elle commença à enlever son vêtement mais j'avais d'autres idées en tête. -Attends, garde ta tunique pour le moment. Elle leva un sourcil puis prit les branches à pleines mains. -Comme tu veux c'est toi qui l'a voulUUU OH ! Pendant qu'elle parlait je saisis ses jambes, la soulevais et la pénétrais avec vigueur. Debout j'avais toute l'amplitude que je voulais pour donner mes coups de reins et j'y allais si fort que nos bassins faisaient de véritables claquements en se rencontrant. Passé ces premiers instants elle me coinça entre ses jambes et subit comme elle put mes assauts sans cesser de gémir. Le plaisir que je lui donnais se voyait sur son visage, la vue de ses traits décomposées attisaient en moi le plaisir qui montait par vagues succssives. -Par les bois sacrés...han....quelle vigueur....oui....oui....Ahhh ! Elle hurla à s'en casser la voix quand elle eu son orgasme et laissa retomber ses jambes. Son visage était retombé en arrière et son cou gracile s'offrait à mes yeux et d'une main je le caressais sans cesser mes vas et viens. Sa poitrine commença à apparaitre quand sa robe se colla à sa peau en sueur et devant cette récompense que je n'avais pas encore gouté et qui s'offrait un peu à moi je dépassais le point de non retour. Mes derniers coups de reins furent si sublime que j'oubliais tout le reste et je poussais un grand cris lors de ma jouissance, un seul cri de plaisir divin pendant que ...
    ... j'éjaculais puissamment en elle. Puis épuisés nous nous sommes allongés, couvert du soleil par les arbres. -Aphrodite m'en soit témoin ta mort aurait été une perte incommensurable à Marathon mon beau platéen. -Ravi. Tu es la seule à me faire jouir à ce point. C'était presque divin. -Presque seulement ? Il va falloir améliorer cela, dit elle tout en passant sa main sur mon sexe qui besoin d'encore un peu de repos. -Je veux juste éviter d'offenser les dieux. -Ah ah ah. Je crois mon beau hoplite que là ils ne seront pas vexés. Dis moi ? -Oui ? -Pourquoi voulais tu que je garde ma tunique ? Tu ne veux plus me voir nue ? -Maintenant si. Pour apprécier ta beauté simplement. Avec un sourire elle se releva et passa sa robe par dessus sa tête. Elle était belle, ses seins étaient petits mais comme dessinés par un artiste, son ventre plat hérité d'années de courses je supposais et ses épaules étaient tout simplement une invitation à s'y reposer. -A toi maintenant. Et j'obéis avec plaisir, libérant mon corps d'athlète de sa prison de tissus. -Encore une minute et je vais à nouveaux plonger entre tes cuisses. -Cette minute sera courte on dirait, me répondit elle avec un sourire. Il faut dire que ma verge reprenait sa vigueur. Je me relevais et l’embrassais passionnément, caressant son dos, ses fesses, embrassant son cou et ses seins si aguichant. Elle allait m'entrainer au sol mais je décidais que l'arbre avait encore des plaisir à nous offrir. Elle accueillit ma proposition avec un sourire ...