Première fois
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
cadeau,
boitenuit,
fsoumise,
Masturbation
Oral
init,
... Je plaisante, idiote. Je baissai la tête, pris sa queue dans ma main et commençai à en lécher la base. Puis je commençai à remonter, lentement. Quand j’arrivai au sillon, je revins à la base, pour remonter. Cette fois, j’allai jusqu’à la pointe ; elle avait bon goût, était dure et chaude. Objectivement, je ne tirais aucun plaisir de cette pratique, mais en même temps, j’étais de plus en plus excitée… Assis sur son siège, habillé et tendu, il se laissait faire… Puis il mit sa main sur ma nuque, enfonça son sexe au fond de ma bouche, et se mit à bouger, lentement, entrant et sortant son sexe de ma bouche. J’avais la bouche pleine, je sentais chaque veine de sa verge, dont la pointe cognait contre mon palais. Étouffée, je libérai ma bouche en toussant. — Je vais te ramener chez toi. Je me sentis humiliée, me retournai pour le regarder ; il avait remonté la tirette de son pantalon. Je me jetai sur lui, réussis à rouvrir sa braguette et, pleurant de rage, je la lui sortis – elle était toute recroquevillée – et je la repris dans ma bouche, pour la sucer avec rage, pour qu’elle retrouve sa splendeur. Sans que je retire ma bouche de son ventre, il avait démarré, et nous roulions… Quand la voiture s’arrêta, je me rendis compte que nous étions arrivés devant chez lui. Il me releva la tête, souleva mon menton, me serra contre lui et m’embrassa. Nous sortîmes, il marchait devant moi, ouvrit la porte et me fit entrer. — Tu veux boire quelque chose, avant ? Je refusai, il se leva et se ...
... servit un verre et s’assit. — Retire tes chaussures, dit-il en m’attirant sur ses genoux, me relevant la jupe, pour laisser mes cuisses à nu sur ses jambes.— Retire ton chemisier. Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge, puis le retira. Son doigt balaya lentement la fissure de mon sexe pendant que, de son autre main, il me poussait vers le divan. — Lève-toi. Il m’embrassa longuement, me retroussa la jupe jusqu’à la taille, découvrant mon ventre, nu. — Je n’ai jamais couché avec un homme.— On ne va coucher nulle part, on va seulement baiser.— Je voulais dire que je suis vierge. Il me regarda en souriant. J’étais chaude, cochonne même… Lucien avait fait de moi une cochonne. Il s’agenouilla en face de moi, retira ma culotte, posa mon cul sur le bord du fauteuil et m’ouvrit les jambes, les posant sur les bras du fauteuil. Il saisit un flacon sur une table basse, plongea les doigts dedans et les ressortit tout blancs d’une crème dont il traça deux traits sur mes grandes lèvres. — Tu ne vas pas l’étaler ?— Non, fais-le toi-même. Je voulus résister, mais la tentation, l’envie, étaient trop fortes. Je fis glisser mes doigts sur la chair enflée, une fois, puis une deuxième fois… — C’est bien, arrête. Il me saisit par la taille, m’attira vers lui, brusquement, me faisant tomber du fauteuil. Il me fit me retourner, les genoux au sol, la joue contre le siège, les mains sur la moquette. — Caresse-toi jusqu’à sentir arriver le plaisir, et alors, dis-le-moi. Je suivis ses ...