Chez notre logeuse (4) - Histoires de Sexe

Chez notre logeuse (4)

... nous faire notre toilette intime, il faisait ça divinement bien, je pense même qu’avec sa langue et il me donnait plus de sensations que Sophie ne réussissait à le faire. À notre grand regret, rapidement Franck est parti vivre chez Caroline, je peux vous garantir que très rapidement il nous a manqué. Par contre cela a resserré nos liens avec la proprio, la seule différence c’est que nous dominions Franck et que quand Muriel rentrait dans nos jeux sexuels, c’est elle qui nous dominait. Nos parties de jambes en l’air avec Muriel s’intensifiaient, les plus mémorables étaient quand l’une d’entre nous se retrouvait toute seule avec elle. J’ai ainsi appris à me retrouver attachée sur son lit, à me retrouver complètement saucissonnée et même emballée dans du film alimentaire. Je crois que cette dernière expérience est celle que j’ai préférée, car on se retrouve vraiment comprimée et immobilisée. On transpire énormément dedans, je n’avais une ouverture qu’au niveau des yeux et de la bouche, vous vous doutez bien que la bouche était libérée juste pour lui faire une langue. Ainsi emballée, on a vraiment l’impression d’être une chenille dissimulée dans son cocon, en train de se transformer en papillon. Il m’est arrivé de rester plusieurs heures ainsi emballée, je ne vous raconte pas le choc quand Muriel me libérait, je savourais l’air frais. Être ainsi immobilisée dans du film alimentaire réveillait la sensibilité du corps, le moindre effleurement sur ce dernier, l’excitait au plus ...

... haut point. Je peux vous garantir que Muriel le savait et elle ne se privait pas de me caresser le corps sur les parties les plus sensibles, à chaque fois le résultat était une envie qu’elle abuse de moi. Le plus beau c’est qu’elle faisait la même chose à Sophie, j’en avais parlé avec cette dernière et elle ressentait exactement les mêmes sensations que moi. Petit détail non négligeable quand on reste plusieurs heures ainsi immobilisée, on ne peut pas se retenir d’uriner. Là, le problème c’est que l’on se soulage sur soi, en plus de nager dans notre propre transpiration voilà que l’urine se met à se propager. Bien évidemment Muriel prévoyait tout, à savoir qu’elle nous allongeait sur la moquette sur lequel elle avait déposé au préalable une immense bâche totalement étanche. Il y a des fois quand nous étions filmées et immobilisées, Muriel prenait un cutter très bien affûté et venait effectuer une incision au niveau de l’entrejambe et quelques fois au niveau des fesses. Cela lui permettait de venir nous caresser la moule et même quelquefois notre petit trou, le plaisir était divin ; j’ai honte de le dire, mais j’en redemandais. Si je puis me permettre, je vous conseille d’essayer car c’est vraiment une sensation unique et merveilleuse. Rapidement Muriel s’est mise à prendre des photos de nous, quand elle nous montrait le résultat, on n’était pas trop inquiètes, nous étions totalement méconnaissables, mais il y avait un véritable résultat artistique. Nous réaborderons le sujet, si ...