Au service (pas st secret) de Madame (2)
Datte: 06/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je sens Madame troublée par mes aveux. C’était aussi la toute première fois que je lui avouais verbalement mon amour. Dehors, avec un peu d’avance, les amies de Madame arrivent. Le temps que je passe mon peignoir et me voilà presque nue devant ces trois femmes si majestueuses et si belles. Trois paires de mains inspectent mon corps des pieds à la tête. J’écoute les commentaires faits sur ma personne. On propose à Madame de me tatouer de sa marque, rien que cette idée j’en mouille mon entrecuisse. L’idée d’être entièrement annelée m’excite au plus haut point. Depuis ce jour, j’ai enfin trouvé, auprès de Madame, ma place. Une main glisse entre mes fesses, un doigt force mon anus. — Hum, elle est très étroite du cul. Il te faudra y remédier ma puce. — Je te rappelle que je ne fais que commencer son éducation. Cela ne fait qu’un an qu’elle est à mon service. Demain, je fais venir Jumbo pour lui faire connaitre un homme doux et prévenant. De plus, j’aime cette petite et elle me le rend au centuple. — Ouah, elle ne devrait pas détesté. Jumbo est le plus doux des esclaves mâles. Sa queue me fait mouiller rien qu’à la voir. — Je ne crois pas qu’elle va détester, en effet. Dommage que je ne puisse être présente. Un cadeau comme ça, ça ne se refuse pas. La dernière ne disait pas un mot, me tournant autour, suivant les traces laissées par le martinet de ses doigts. Elle me mit sur orbite, mon râle de plaisir fit sursauter Madame et ses amies. Je me suis écroulée sur le sol à ...
... demi-inconsciente. Madame me relève, m’embrasse tendrement comme à son habitude. — Bon les filles, je ne vous ai pas faites venir ici pour boire que du thé. Je veux en faire une servante digne de moi avec des tenues de soubrette qui doit me laisser un libre accès à son sexe et les anneaux que je vais peut-être lui imposer sur son joli corps. — Tu veux aussi percer sa cloison nasale ? — Oui, ainsi, je pourrais la promener en ville en laisse. — Ok, tu me feras penser à anneler mon toutou de la même manière. Après tout, nous sommes en l’an 2815, non ? — Justement ! Il est temps de faire bouger ces crétins du gouvernement. — Ils ont bien fait quelques progrès, mais pas assez à mon gout. Parce s’ils font de la politique comme ils baisent leur femme, je crains le pire. Les femmes rirent à ce bon mot. Puis, les deux amies de Madame allèrent prendre ce qu’il fallait dans leur véhicule. De retour, elles ouvrent trois grosses valises. Je peux y voir du cuir, du latex et tant d’autres vêtements, tous sont diaboliquement somptueux et si terriblement sexy pour une esclave comme moi. On prend mes mesures sous toutes les coutures, je réponds à chaque sollicitation de leur part. Très vite, on m’habille, on me change, passant de tenue en tenue. On me caresse, m’embrasse, je découvre un peu du monde de la nuit de Madame. — Stop, je crois que voilà ce que je veux pour elle. Mouais, c’est pas mal du tout. Son sexe est libre, comme son petit cul adorable. Je peux palper ses seins, les faire voir aussi. ...