1. Putain de la République


    Datte: 06/03/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... nylons et autres sous-vêtements féminins. Les premiers temps je lui concédais de furtives caresses. La première fois alors qu'il me ramenait chez moi, il hasardât une main sur ma cuisse. Il est vrai que je l'avais savamment allumé avec une jupe trop courte et qui ne laissait rien au hasard. Notamment on me voyait distinctement le porte-jarretelles puis une chair succulente affleurant à la naissance du bas. J’escomptais bien que mon porc bandât. J'affectais pourtant de m'offusquer de cette audace commençant à le rabrouer. Je le rabaissais et lui fit honte.Je racontais avec un certain cynisme que j’avais trop de considération et d'estime pour sa chère épouse. Je vis que ce discours lui plût. Il me supplia de lui pardonner. Je le rendais fou. Il m'avouât tous ses fantasmes à mon égard. Il guettait la moindre parcelle de mes jambes ou de mes pieds. Il rêvait un jour de me dérober quelques-uns de mes sous-vêtements et de se branler avec. J'éclatais de rire afin de lui manifester tout mon mépris. En même temps avais-je extirpé d'un de mes escarpins un pied l'installant ostensiblement sur le tableau de bord du véhicule. Je l'exposais tel un défi.Nous étions assez loin car à quelques rues du domicile et il faisait sombre déjà à cette heure. Je lui dis avec quelque douceur et bienveillance qu'il avait droit à toucher voire à caresser ce pied. Il s’exécutât avec une certaine crainte au début puis peu à peu s’enflamma finissant par baiser goulûment ce pied. Cela m'excitait. A force ...
    ... j'étais émue de susciter cet océan de jouissance. Il mordillait et suçotait mes orteils au travers du nylon. Ce vicieux finalement m'arrachât de coupables gémissements. Je ne pus réprimer le geste de glisser ma main dans ma culotte et de me caresser .Il me demanda de lui laisser en gage un bas. Protestant pour la forme je n'en mis pas moins une condition. Ce serait payant. Loin de moi de passer pour vénale, je voulais que mes concessions eussent un prix. Je dis étourdiment : ce bas vous vaudra cent euros. Il extirpât deux billets de cinquante de son porte-feuille. Je fis glisser mon bas lentement le fixant au fond des yeux. Il avait quelque chose de douloureux. Je vis qu'il serait malheureux que je ne lui abandonnas l'objet chéri. Il y enfonçât devant moi son groin dans. Cela lui arrachât un soupir. J'étais sûre de mon esclave.Il y eût maintes fois ce rite. Il me raccompagnait. Je lui concédais qu'il me léchât tantôt le pied, tantôt l'escarpin, la main, la culotte ou autres. Après cela je lui abandonnais un aspect de ma personne. Il ne me gênait pas de me délester au besoin d'une culotte. C'était mon péché mignon de me balader sans. Rien de plus jouissif en effet que de percevoir l'air s’engouffrer sous la jupe et vous caresser la chatte d'autant qu'un regard mâle et vicieux pourrait à tout moment surprendre ce secret. Pour une culotte je majorais le tarif jusqu'à cent vingt euros. Tout cela pouvait choquer.Mon pitoyable amant se familiarisait à me payer. Je lui rétorquais sans ...