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Belle mère exhibitionniste et beau fils voyeur (1)
Datte: 07/03/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... leurs ébats se firent bruyants. Louise, très « expressive » ne faisait rien pour que cela se passe dans le silence, et mon père très « endurant » ne faisait rien pour que cela se fasse au plus vite. Je finis par me branler les soirs ou cela se passait, n’ayant pas de petite amie pour me soulager. Les lendemains je surprenais les regards insistants de Louise comme pour me narguer. Ensuite, ce fut un samedi matin. Mon père était déjà au boulot et je rejoins Louise pour le petit déjeuner. Elle portait un genre de robe hippie à fleurs, tenue par deux bretelles mais qui descendait jusqu’au talon. Etant en train de préparer le café, elle me demanda si j’en voulais aussi. Répondant par l’affirmative, elle s’approcha pour m’en verser dans mon bol. Ce faisant ; il me sembla qu’elle se baissa plus qu’à l’accoutumée ce qui me fit une vue plongeant sur la naissance de ces deux seins jusqu’à son nombril et un peu plus bas. Je détournais rapidement le regard mais même sans voir grand-chose, il était aisé de constater qu’elle ne portait rien en bas non plus. On commença notre petit déjeuner alors que j’avais une trique d’enfer rien que par cet aperçu. Comme rien d’autre ne se passa, je pris ça vraiment pour un geste naturel et accidentel. Puis, quelques jours plus tard, alors que j’allais prendre une douche, je trouvais dans le bac à linge des affaires de Louise. Or, ils avaient leur propre salle de bain dans leur chambre. Ses affaires n’avaient donc rien à faire là. De plus, ses sous- ...
... vêtements étaient posés en évidence sur le dessus. Un soutien-gorge blanc en dentelle quasi transparent et une culotte blanche assortie. Je saisis la culotte. La dentelle transparente sur le devant ne devait pas cacher grand-chose lorsqu’elle la portait. Le double fond laissait entrevoir une petite tâche. Je n’étais pas un fétichiste des culottes mais que faire d’autre quand vous êtes seul, avec ça entre les mains. Je le portais à mon nez pour en sentir les effluves. Que dire ? Si ce n’ait que mon sexe se renforça vitesse grand V et que je ne pus que le polir pour me soulager... Je commençais à m’interroger vraiment sur tous ces incidents. Quand de nouveau un matin, c’est moi qui était en train de prendre mon petit dej. Quand Louise descendit ; elle portait toujours le même style de robe. Ce qui me frappa, c’est ce qu’elle avait dans les cheveux : des traces de sperme desséché. Et pas qu’un petit peu trois traînées flagrantes se voyaient. Je les avais bien entendu hier soir à travers le mur ainsi que la finition de mon père « tiens prends ça sur ton visage et bois le reste... ». Face à elle, je ne savais pas où me mettre ni quelle attitude porter. Je pouvais sentir pendant qu’on était à table qu’elle posait des regards poussés sur moi. Attendait-elle une réaction de ma part ? Je préférais me défiler et remonter dans ma chambre. Que se passait-il ? Que voulait-elle ? Était-ce vraiment de la provocation ? Ou alors des « accidents » d’une vie familiale ? Elle était quand même ...