A la maison
Datte: 08/03/2018,
Catégories:
fhh,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
... glotte à moins que ta langue n’en ralentisse la vitesse. Je me souviens de la première fois, où libéré des capotes par une promesse tacite de fidélité, tu m’avais gardé en bouche, recueillant ma sève comme une magnifique preuve d’amour. C’est une autre liqueur que tu dégustes ! Est-elle différente pour toi ? Plus goûteuse ? Plus généreuse ? Plus épaisse ? Je ne connaîtrai pas les réponses car on ne pose pas ce genre de question. Surtout lorsque la personne a la bouche pleine. Mais la bite qu’elle libère maintenant est lisse, brillante, propre comme un sou neuf. Une bite encore raide et je te vois venir la chevaucher. Serge est étonné par ta technique de massage. Tu continues de le pomper mais à l’intérieur de toi. Lise est confortablement empalée sur son amant. Légèrement penchée en avant, ses mains bien à plat sur la poitrine virile, elle lui fait le grand jeu, un jeu auquel il est difficile de résister, surtout alors qu’elle se baise avec force, gémissante, suppliante par des « Viens ! Viens ! Inonde-moi ! » Je laisse les amants reprendre leur souffle. Ils sont assis côte à côte et c’est moi qui leur offre boisson et amuse-gueules. Petit à petit la conversation reprend. Je demande à Serge de nous conter comment lui et sa femme ont commencé leur libertinage. Il nous avait parlé de son divorce et de ses aventures en célibataire, éducateur et partenaire de couples candaulistes, mais pas de cela. Comme toujours il parle avec aisance et sait trouver les mots pour décrire des ...
... situations très chaudes. Leur première fois est tout en délicatesse. Il raconte comment ils décident de se séparer, craignant le regard de l’autre, mais dans deux pièces dont la porte de séparation est restée ouverte ! Comment chacun a entendu l’autre sans le voir s’efforçant de rendre audible à son conjoint ce que les amants faisaient ! Je ne sais si ce sont ses souvenirs ou la main de Lise négligemment posée sur sa cuisse, mais Serge montre à nouveau une verge en puissance. Bien entendu ma femme le voit. La main passe de la cuisse au mandrin qui semble se renforcer encore de ce contact. — Charmante attention. Et ensuite ? demande Lise manifestement intéressée.— Nous avons avancé pas à pas. Séparés par une cloison, puis dans la même pièce mais dans le noir, puis l’un aveuglé par un bandeau et enfin au grand jour, dans le même lit, dans la plus totale impudeur.— Waouh. Si je comprends bien Paul et moi on a sauté toutes les étapes. N’est-ce pas chéri ?— C’est vrai. Un peu poussés par toi, Serge !— Oui, mais je voulais vous révéler à vous-mêmes, le temps m’était compté.— Et avec le recul quel moment t’a laissé le meilleur souvenir ?— Oh, tous, sinon il faut arrêter. Mais si je devais classer, je dirais la première fois. C’est la réalisation d’un rêve, d’un fantasme.— Bien entendu, dis-je. Mais quoi encore. La première fois que tu as pu vraiment voir ta femme avec un autre ?— Oui bien sûr mais aussi par l’imagination.— Comment ?— Je sais que pour un candauliste cela peut paraître ...