A la maison
Datte: 08/03/2018,
Catégories:
fhh,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
... refusant de détailler, alors que nous parlions librement après la guinguette ? En tout cas, ce sont ses mains qui m’attirent vers elle, plaçant mon visage contre son cou et me distillant d’une voix douce et langoureuse : — Tu vas voir mon chéri, c’est magique. Mais ses mains, maintenant, me caressent les fesses comme elle le fait souvent pour m’inciter à la prendre encore plus fort. Des mains sur mes fesses qui doivent… Mais oui les miroirs des portes coulissantes sont de terribles examinateurs. À eux, rien n’est caché. Ils réfléchissent tout. Lise allongée, moi sur elle, genoux pliés, penché en avant ce qui naturellement me fait relever les fesses. Ce n’est pas la première fois que je me vois ainsi. Ces miroirs sont de fantastiques aphrodisiaques et chaque jour nous nous félicitons d’avoir équipé deux portes avec. Mais il n’y a pas que nous. Alors que je sens des mains ouvrir ma raie, je vois un homme s’approcher pour y laisser tomber de sa salive. Elle paraît gigantesque, disproportionnée et pourtant je l’ai vue plusieurs fois pénétrer mon épouse en lui procurant le plus grand bien. Mais vue de ma position elle me paraît bien longue et grosse cette verge, cette tige déjà tendue, bâton de chair que l’homme bouge en la frottant à ma raie, concentrant sa salive vers mon petit trou. Je sens bien le gland se frotter. C’est plus doux, plus chaud que le gode, même si d’habitude Lise se charge de m’ouvrir le cul avec sa langue dans une feuille de rose perverse et cochonne. Mais ...
... ce n’est pas une langue que je vois dirigée par la main de Serge. Il se place sur moi, s’accroupissant plus que s’agenouillant, dirigeant l’extrémité de son dard vers un objectif que je ne peux pas voir. — Chéri, je le sens, il te cherche. Et cette voix d’une totale impudeur ! Mais que reste-il de nos retenues ? Balayées en l’espace d’une soirée. Fallait-il que le fruit fût mûr, pour que plus rien ne nous retienne. Surtout toi, ma chérie que je sens impatiente. Le miroir me montre un homme outrageusement cambré, vulgaire avec une épée dirigée vers son cul. Une épée qui pousse, dilate, force un passage qui ne résiste que par éducation, le temps d’un soupir, le mien, alors que je sens la bite entrer. — Chéri, mon amour, il est en toi, je le sens. Je me retiens de ne pas lui dire que je suis au courant, que c’est mon anus qui s’est ouvert, que c’est mon cul qu’on envahit. Mais je la comprends car moi aussi j’ai vécu avec elle toutes les caresses et les possessions de son amant. Il avance en pays conquis et je suis tout étonné de voir le mandrin disparaître du miroir pour laisser la place à Serge littéralement assis sur moi. C’est troublant. Chaud, à la fois dur et souple et d’une certaine façon ce qui m’envahit transmet à ma propre queue une partie de sa vigueur. — Ça va chéri ?— Oui. Serge bouge un peu et je prends conscience de la taille de son engin. Il est plus gros, plus long que mon gode mais comme dit ma coquine de Lise "il me remplit". Il me remplit et c’est bon de se ...