1. A la maison


    Datte: 08/03/2018, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession,

    ... l’homme.— Tu avais deviné quoi ? je lui demande.— Dans le bus j’ai tout de suite deviné.— Impossible, moi-même je n’en savais rien.— Mais ton attitude parlait pour toi. J’ai tout de suite vu dans ton regard le plaisir que je mate ta femme et qu’elle ait une culotte ou pas, importe peu.— Tu affabules.— Mais non et d’ailleurs, par mimétisme, sans vraiment t’en rendre compte toi aussi tu laissais voir ton entrejambe.— Mettons, et alors.— Et alors ? Mais tu bandais mec, tu bandais.— Oh.— Et d’ailleurs si cela ne t’avait pas excité, pourquoi as-tu entraîné ta femme dans le jardin pour lui faire l’amour ? C’est Lise qui demande : — Tu nous as suivis ?— J’ai juste écouté derrière le mur du jardin. Vous n’étiez pas particulièrement silencieux. Que rajouter ? Il doit avoir raison, et la guinguette a fait le reste. Pendant quelques minutes la conversation se traîne. Lise et Serge semblent déjà dans un jeu de séduction, c’est évident. En posant ma main sur la cuisse de ma femme je romps, je l’espère que passagèrement, le lien subtil qui la lie à Serge. Elle me regarde. Nous échangeons en une fraction de seconde des sensations qu’aucune liaison, optique ou même quantique, ne pourront jamais égaler. Il me suffit de quelques mots à son oreille et elle se lève en même temps que moi. C’est le moment que j’ai imaginé depuis la guinguette. Oh, je sais que beaucoup avant moi ont eu la même idée, idée d’ailleurs symbolique de ce que nous voulons faire. Un candauliste regarde sa femme avec ...
    ... un autre. Mais pas seulement ! Regarder c’est agréable, mais organiser c’est encore meilleur. La fermeture Éclair de cette robe, robe que j’ai choisie consciemment, part de l’omoplate pour descendre jusqu’au creux des reins. Lise est debout face à cet homme qui ne la quitte pas des yeux. Je me charge de faire glisser les bretelles le long de ses bras et c’est dans un silence assourdissant que la robe tombe à ses pieds. Bien entendu que Serge ne découvre pas ma femme pour la première fois ! Mais, si la mise en scène peut paraître un peu théâtrale, elle est chargée d’un symbolisme et d’un érotisme torrides associés à une charge émotionnelle plus que forte. Je suis le mari qui offre sa femme à un autre. Qui lui offre déjà le plaisir de pouvoir se remplir les yeux de sa beauté, beauté soulignée et amplifiée par ce que j’ai moi-même choisi. Lise n’a besoin de rien pour être sublimée. Mais moi, dans mon imaginaire elle devait être ainsi. Les bas ne sont que des fils conducteurs. Des fils sous forme de rubans de dentelle qui les relient à un corset entièrement dédié à transcender cette taille de guêpe reconquise après sa grossesse. Cette femme a eu un enfant ? Impossible, elle aurait dû en garder des traces ! Que nenni ! Regardez ses courbes gracieuses. Regardez comment ses seins reposent fermes et vaillants sur ces corbeilles de fin tissu. Car ses seins sont libres. J’adore les voir ainsi, libres, vivants disponibles aux regards et aux caresses sans que rien, si ce n’est de doux ...
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