1. LUCETTE FAIT DES SIENNES...


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... écarta largement ses cuisses et promena une main joueuse sur sa chatte. Elle eut un sourire en sortant ses doigts mouillés de l’intimité qu’elle venait de visiter sans vergogne. - Vient plus tôt t’asseoir sur ma queue, la suppliais-je. Moi aussi j’ai besoin de jouir… Espiègle, elle jeta un œil sur ma queue bandée à tout rompre. - C’est vrai que tu bandes bien, mon cher. Mais sache que dans la position où tu te trouves, tu n’as rien à m’ordonner. Tu ne crois Pas ? - Oui ! Je m’excuse… - En voilà des manières, répliqua-t-elle, pour un individu qui s’est laissé attacher bêtement… Je la maudissais des yeux. Elle remit pieds à terre et s’éloignait en oscillant exagérément des fesses. J’écumais de désir, alors qu’elle revenait bientôt avec son portable à la main. - Bon… bon… après réflexion pourquoi pas ! Mais il me faut une autorisation. - Demandez l’autorisation ? Mais à qui ? Elle ne répondait rien, me lançant seulement un sourire satanique. - Tu réponds… à qui ? Qui appelles-tu ? - A ton avis ? Pose-toi simplement cette question ? - Je ne sais pas… - Aller fait un effort. Fait marcher ton cerveau. J’étais dans le flou à cet instant. Jouait-elle toujours Ou ? Des craintes les plus folles vinrent polluer à ce moment mon cerveau, alors que je la regardais pianoter les touches de son portable. Elle ajouta : - Alors ? Tu ne devines pas ? Un peu de patience mon cher, qu’elle décroche et alors tu comprendras… Après quelques secondes de silence, elle joignit un : - Allô ? Catherine, ...
    ... c’est bon, je crois qu’il est prêt… Tu peux venir. Non ! La salope ! Elle avait appelé ma femme. Tout depuis le début était prémédité. - Si c’est à ma femme que tu as appelé, je te tue… - Tu n’as qu’à rester sage ! me répondait-elle d’un ton démoniaque en raccrochant et en posant le portable. Je rouspétais contre moi-même de m’être fait avoir. J’essayais encore et encore de protester. - Détache-moi, il est encore temps que je file… lui soumettais-je. Je te promets de faire tout ce que tu désires de moi. Mais c’était peine perdu. Mon sort était déjà jouer. - Alors, mon choux ? Veux-tu toujours que je m’assois sur ta queue. Je ne serais pas contre. Mais que dirais-tu de me baiser devant ta femme. - Mais tu es devenue folle ! Ou quoi ? - Hmmmm ! Tu ne peux pas savoir ce que je donnerai pour être plus vieille de quelques minutes. De jouir de la tête que tu feras quand elle sera là, debout devant tes yeux… - Aller… tu as gagné. Arrête de déconné, détache-moi… vite… D’un effort désespéré, je tentais de me libérer de mes entraves, mais c’était peine perdu. Elle m’avait bien immobilisé, la salope. J’enrageais une fois de plus contre moi. Comme je ne l’avais jamais fait auparavant. Je grognais sans retenue. Me débattais sans discontinuer sans pour que cela mes liens cèdent. À bout de souffle je me laissais choir sur le fauteuil. Vaincu. - Je te laisse imaginer sa surprise quand elle va passer le pas de la porte. Je gardais le silence… fatigué… - Et peut-être qu’elle pourra en profiter ...