1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 554)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... cette capote, à ce cabot.... Alors Vanessa tout en continuant la masturbation de la queue du soumis, positionne le préservatif sur le haut du gland et le déroule délicatement le long de la hampe, puis Vanessa se remet en position à quatre pattes, exhibant sa belle croupe arrondie et sa chatte épilée à l’esclave mâle. Le jeune homme profite de cet instant d’excitation pour pénétrer doucement Vanessa qui se laisse faire sans bouger, sans envie, sauf celle de dormir. Il fait quelques va-et-vient, mais sans grande conviction, et son sexe commence déjà à ramollir. Il tente de lutter en imaginant des scènes excitantes, mais rien à faire, les femmes ne l’attirent décidément vraiment pas. Walter observe le jeune homme maladroit, cherchant par tous les moyens à s’exciter, alors le Majordome s’amuse de la scène, alors que Vanessa désespère de pouvoir dormir sur cette première heure. - Décidemment tu n’as rien d’un mâle ! Si tu n’éjacules pas avant la fin de l’heure, tu seras puni sévèrement, et crois-moi ce sera bien plus intense que tout ce que tu as subi jusqu’à maintenant entre ces murs. A ces mots, Vanessa se surprend à espérer qu’il échoue, pour qu’il souffre, qu’il regrette les propos qu’il a tenus chez son amant, pour qu’il apprenne où est sa véritable place. - Pour t’aider, tu vas pouvoir faire appel aux mains de cette soumise, car elle sait te faire monter, mais la décision lui revient, elle peut refuser de t’apporter son aide, à toi de la convaincre, tu as droit à la ...
    ... parole, sourit Walter. Vanessa comprend qu’elle a le sort de ce soumis entre ses mains, et étrangement elle se surprend à apprécier ce sentiment de puissance. Elle refoule aussitôt le sentiment de vengeance qui monte en elle, elle ne veut pas devenir comme ça, elle veut pouvoir rester la jeune femme qui pense que tout est pardonnable, ou presque. Mais elle veut l’entendre s’excuser, l’entendre regretter sincèrement ses paroles, et elle compte bien le lui imposer, quitte à ne pas dormir. - Je…je…s’il te plait…aide moi, ose le jeune homme s’adressant à Vanessa. - Hum, tu étais beaucoup moins courtois la dernière fois que tu m’as adressé la parole, souligne la jeune femme, une pointe de sadisme dans la voix. - Je sais, je suis désolé, je ne recommencerais plus. - « Désolé »… des promesses… ce ne sont que des mots en l’air tout ça. Etre désolé ne suffit pas, il convient, en premier lieu, de présenter ses excuses. - Je m’excuse. - Tu t’excuses, se pardonner à soi-même c’est bien, mais pas français, obtenir les pardon des autres c’est mieux, on ne s’exprime pas ainsi séant, accuse la jeune femme. Walter sourit, il se rend compte que Vanessa aurait fait une très bonne partenaire de jeux si elle avait choisi de dominer, et regrette presque de ne pas la connaitre ainsi. - Excuse-moi, s’il te plait, insiste le jeune homme. - L’impératif, dans la bouche d’un soumis, décidemment la maîtrise de la langue de Molière n’est pas ton fort, voici la phrase que tu dois dire « Je te demande de bien ...