1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 10/03/2018, Catégories: Hétéro

    ... seins tout mouillés. Ma main glissait entre les deux poires et mes doigts taquinaient les tétons. Eva s’accroupit devant moi et s’inséra entre mes jambes que je tenais grandes ouvertes. Elle plaça mon sexe entre ses deux lobes, l’emprisonna en les serrant l’un contre l’autre de ses deux mains et commença à bouger de haut en bas. Mon gland apparaissait entre ses seins chaque fois qu’elle se baissait. Jamais encore dans ma vie d’homme je n’avais bénéficié d’une cravate de notaire de cette qualité. Bon Dieu, que c’était agréable ! — Arrête, chérie… Gardes-en pour plus tard, car vu la façon dont c’est parti, je crois que l’on n’est pas encore endormis. — Et pourtant il va falloir que je dorme : je bosse, moi. En plus, tu as vu l’heure ? Deux heures du matin ! Et moi, à 11 heures, il faut que je sois à bord pour superviser. Elle se releva, se savonna rapidement la chatte et je la rinçai abondamment. On se sécha mutuellement puis on passa dans la chambre à coucher que j’éclairai seulement avec la liseuse de mon côté. On défit le couvre-lit et on s’étendit. Eva vint se blottir entre mes bras, la tête sur ma poitrine et une cuisse par-dessus la mienne. Je sentais la chaleur de son sexe. Je voulus la retourner pour l’embrasser. Elle refusa. — Tu me laisses faire : à présent c’est moi le commandant, chéri. Elle se dégagea de mon étreinte et me grimpa dessus comme une cavalière enfourche son cheval. Elle s’allongea sur moi, m’offrant ses lèvres, sa bouche. Nos langues jouaient ...
    ... ensemble. Mon sexe était au niveau de ses fesses. Puis elle abandonna ma bouche pour me déposer des baisers dans le cou, sur la poitrine, sur les tétons. Pour la première fois de ma vie je ressentis des frissons sur tout le corps. Sa bouche continuait à descendre ; elle était maintenant sous mon nombril. Sa main passa sous mes fesses et me caressa sous les testicules. Parfois elle effleurait mon anus, me faisant tressaillir comme si j’avais reçu une légère décharge électrique. À présent, elle était au niveau de mon sexe. Sa langue en léchait le gland, essayant avec sa pointe de pénétrer l’orifice du méat. Elle prit le gland dans sa bouche et fit entrer ma verge aux trois-quarts. Elle me suçait avec application en insistant de sa langue sur les terminaisons nerveuses sous le gland. Mon érection était totale ; je ne pouvais pas être plus dur, long et gros. Eva abandonna sa friandise, se redressa et, se soulevant légèrement sur un genou, de sa main présenta ma verge à l’entrée de son vagin. Rapidement elle pesa et se pénétra à fond. Elle montait jusqu’à avoisiner la sortie de mon sexe, puis elle se laissait retomber de tout son poids, enfonçant ma verge au plus profond d’elle-même. Elle fermait les yeux, cambrait son torse en arrière en se tenant des deux mains sur mes genoux. Je sentais que mon gland ne pouvait pas aller plus profondément. Il glissait dans son fourreau de miel baigné de cyprine. Eva montait et descendait. Sa respiration se fit plus saccadée et rapide ; je lui vins en ...