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un chien qui s'ignore 4
Datte: 10/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
************************** Je tressaillis et recommençais à avoir des spasmes. (Ma femme comme je veux encore la nommer dans ma tête travaille dans un cabinet vétérinaire).’Le reste je l’ai commandé sur internet.’En parlant je voyais qu’elle préparait quelque chose dans ses mains.‘Ca va te calmer pour quelques minutes. J’ai dosé pour 90 kg. Quand tu reprendras conscience tu seras plus à ton aise pour passer une bonne nuit.’Je m’agitais dans tous les sens. Elle me piqua sa seringue dans le bas du dos. La lumière s’obscurcit et je me sentais lourd. Elle me soulevait une paupière. Mon bâillon fut enlevé, mes mains tombèrent au sol, on me roulait sur le dos…J’émergeais doucement, la tête me tournait, je tournais sur moi-même. Cette fois mes membres étaient libres. J’étais allongé sur le côté. Ma respiration était difficile. Un nouveau bâillon maintenait ma bouche ouverte par une balle, je bavais en abondance. Une sorte de cagoule m’obligeait à respirer par le nez. Par les œillères je voyais un renflement vers le bas du visage. Je voulais toucher cette cagoule, mais le contact de ma main était impossible, je portais des gants. Je baissais la tête pour voir et comprendre : mes mains étaient maintenues dans une poche en cuir ovale fermée par un cadenas. Ce n’était pas un gant mais sac en cuir qui m’empêchait d’ouvrir les mains et me servir de mes doigts. Je me réveillais tout à fait et voulu me lever. Un choc au niveau d’un collier très serré m’arrêta net. Je ne comprenais pas. Le ...
... peu que j’arrivais à voir en tournant difficilement la tête sur les côtés étaient des chaines qui partaient vers mes chevilles que je sentais entravées aussi. J’arrivais difficilement à me redresser et me retrouvais à 4 pattes. Mes poings au sol dans ces coussinets, m’obligeaient à baisser la tête, une chaine reliant apparemment un anneau sous le collier. La position était très inconfortable avec mes bras pliés : mon visage ou plutôt le renflement de la cagoule frôlait le sol. La bave se mit à couler de ma bouche maintenue entre ouverte. Je sentais mon coup imbibé des ses écoulements, malgré le collier serré. Ma respiration uniquement par le nez raisonnait dans mes oreilles. Il devait y avoir un trou vers le renflement de la cagoule. J’essayais de soulager mon dos en levant mes poings et ma nuque ensemble, mais une autre chaine retenait également la course de mes bras en étant relié avec mes chevilles. Bras repliés et levés, tirant sur le collier, je ne pouvais que me tenir à genoux pour quelques instants maintenir la tête redressée pour regarder où je me trouvais. Mais j’étais dans le noir complet. Je tournais le buste, ma tête étant bloquée par les chaines en extension. La douleur cuisante de mon dos lacéré se réveilla. De surprise je poussais un cri à travers le bâillon qui résonna bizarrement à travers cette cagoule. C’est à ce moment que la porte s’ouvrit, la lumière m’éblouit. Et celle qui avait été ma femme se tenait sur le seuil et me fixait de toute sa hauteur. Hébété ...