1. Les plaisirs nouveaux d'un couple mature (2)


    Datte: 12/07/2017, Catégories: Divers,

    Je m’appelle Nicole (pseudo) et c’est avec une certaine appréhension et toute à la curiosité de Siméon que je me livre à votre lecture. Mon côté exhibitionniste (révélé…) explique sûrement l’idée que j’approuve de partager avec vous ce qu’est désormais notre vie de couple. A l’aube de la cinquantaine c’est vrai, jamais je n’aurais cru possible que nous en arrivions là. Mère de famille mariée et heureuse, l’hypothèse de vivre une sexualité aussi peu orthodoxe ne me semblait possible qu’au travers les fantasmes que nous partagions avec Siméon .Sans les aléas de la vie jamais probablement, cela ne serait arrivé. J’étais vierge lorsque j’ai rencontré Siméon et jamais alors, je ne me serais sentie capable de coucher avec un homme sans éprouver de sentiment. Je me trompais et c’est ainsi que tout a commencé. Après plusieurs années de relâche, en raison du problème de santé de mon mari, j’ai repris une activité professionnelle chez un courtier en assurances mais après une longue période d’inactivité, il m’a fallu remettre le pied à l’étrier. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de mon manager. Celui qui devait m’y aider, mais celui aussi qui allait être, l’objet de mes turpitudes. Dès que je l’ai vu, j’ai tout de suite senti qu’avec son aisance et son physique c’était un homme à femme mais avec ses vingt-sept ans à peine, je me croyais à l’abri … David était là pour me mettre en relation avec une clientèle déjà fidèle que je devrais démarcher régulièrement. Mission bien plus ...
    ... difficile qu’il n’y paraît (sauf si à l’heure où l’on en parle on ne s’offusque pas du harcèlement sexuel) et bien vite, je me suis sentie dépassée par l’ampleur de la tâche. Lui, bien rodé et intégré dans le circuit faisait preuve d’un professionnalisme qui, au fil des jours, étalait de plus belle mon inexpérience. Le monde du travail avait considérablement changé et je m’en rendais compte. Il en fut ainsi pendant plus de trois semaines, où chaque soir lorsque je rentrais, je me sentais au bord de la crise de nerfs, pleurant parfois sur mon statut qui me paraissait de plus en plus précaire. C’est vrai que financièrement, c’était assez motivant et le fait d’apporter moi aussi, ma contribution à l’amélioration de notre vie familiale, affirmait un peu plus mon autonomie. Puis un jour, à l’occasion du déjeuner que nous partagions, j’ai fait part à David de mon sentiment. J’étais au bord de la rupture. J’étais à des années-lumière de ce que j’avais professionnellement connu, etc. Gentiment sa main se posa quelques instants sur la mienne et un frisson traversa mon corps. Simple geste amical ou première approche ? Je ne savais que penser. Sans que je m’en rende compte, cela il me l’avoua plus tard, il le remarqua. Nous nous tutoyions déjà, aussi je pris parti de le considérer comme un simple geste d’encouragement et nous avons continué à converser, mais autant que je m’en souvienne, j’étais déjà troublée. Nous étions en retard lorsque nous avons regagné notre voiture de société et ...
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